1. Salade bien mélangée (1)


    Datte: 16/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pedennasi, Source: Xstory

    ... à ses yeux ses seins, libres de toute contrainte sous le chemisier. Louise s’efforçait d’ignorer les lourdes allusions grivoises de Marcel, impatiente du moment où, le repas terminé, chaque couple se retirerait pour dormir.
    
    Ils parlaient de tout et de rien lorsque Marcel brisa la fausse neutralité de la situation et proposa de jouer aux cartes. Rémy, qui sentait un parfum de stupre extra-conjugal émaner chez son invitée, regarda Marcel, Odile, puis Louise, qui n’en pouvait plus. Il demanda, faussement finaud :
    
    — OK, une belote ? … un rami ? … un poker ?
    
    — Un poker, pourquoi pas ? Oui, si on faisait un strip-poker ? proposa Marcel avec un clin d’œil appuyé.
    
    Rémy dirigea son regard vers Odile, dont le regard brillant ne cachait plus son excitation, puis vers Louise qui, baissant les yeux pour ne pas montrer sa panique, répondit, inquiète :
    
    — Un strip-poker, qu’est-ce que c’est ?
    
    Marcel le lui expliqua. Louise, complètement paniquée, regarda son mari. Se dévêtir devant des inconnus, elle ne l’avait jamais fait, et pourquoi faire… ? Mais Rémy insista…
    
    — Ce sont des cousins, nous sommes en famille…
    
    La situation devenait toute autre… Marcel couvait Louise d’un œil que la situation avait rendu concupiscent… Il se mit à contempler son corps élégant, mince, sa taille fine, ses jambes fuselées, ses beaux seins qu’un sage chemisier dissimulait à sa lubricité. Pas mal, après tout… Certes, il aimait les femmes bien en chair, mais celle qu’il détaillait ferait ...
    ... bien l’affaire, et le regard éperdu qu’elle lançait à son mari cachait, à ses yeux, la plus garce des amantes…
    
    Et les cartes furent distribuées, avec et fébrilité. La première à se retrouver torse nu fut Odile, fière de mettre ses seins, lourds, mais pleins et arrogants sous les yeux des deux hommes et d’une autre femme, une rivale. Les deux hommes suivirent de peu le mouvement de déshabillage sans se plaindre de perdre, mais Louise résistait, la chance lui permettant de conserver chemise et slip… Le vent tourna enfin et, après avoir retiré ses chaussures, elle tenta de retarder l’échéance en ôtant ses bracelets, mais un tollé l’en dissuada.
    
    Louise fut contrainte par les joueurs de retirer son chemisier. Ensuite, elle dut retirer son soutien-gorge, les yeux baissés. Troublée par sa nudité exposée, elle voulut confier la détresse de sa pudeur à son mari mais il ne la regardait pas. Elle ne voyait plus que son dos, que sa nuque, caressée par les mains d’Odile, qu’il embrassait à pleine bouche, les mains caressant avidement les gros seins offerts…
    
    Louise ne savait plus que faire. Elle se voyait seule, son corps nu, exposé sans défense au regard lubrique, concupiscent d’un homme laid, vulgaire, à son sexe qu’elle ne voulait pas regarder, mais qu’elle imaginait tendu vers elle, prêt à s’enfoncer dans son ventre…Et son mari qui l’abandonnait, qui livrait sa vertu en danger à leur grossier invité. Et quand elle vit Rémy se lever, prendre Odile par la taille et, sans cesser de ...