1. Mal de dos


    Datte: 15/10/2020, Catégories: fh, couple, Oral coprolalie, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... du fait qu’elle vient de parler de pute… Alors, je poursuis dans cette voie :
    
    — Je suis un grand malade, j’ai besoin de soins appropriés, de très bons soins…
    — Grand malade, sans doute… où tu veux en venir ?
    — Comme tu l’as si bien dit : oui, je te prends pour une pute…
    
    Elle ne dit rien, mais je vois une certaine lueur dans ses yeux. Je continue :
    
    — Et une pute, ça se comporte logiquement en pute, en grosse salope…
    — Ouiii… et puis ?
    
    Prenant mon ton le plus dominateur, je la questionne :
    
    — Tu es ma pute ?
    — Oui, je suis parfois ta pute…
    
    Elle semble vouloir jouer le jeu. J’accentue :
    
    — Pas parfois ! Tu es ma pute à moi, n’est-ce pas ?
    — Oui, je suis ta pute à toi !
    — Tu es ma salope ?
    — Oui, je suis ta salope !(voix suave)
    — Ma grosse salope ?
    — Oui, je suis ta grosse salope !(voix coquine)
    
    Le son de sa voix me fait frémir, je souris :
    
    — Dans ce cas, la grosse salope que tu es va se faire un plaisir de sucer ma bite jusqu’à ce que je jute dans sa bouche ! Exécution !
    — Oui, M’sieur !
    
    Et elle s’exécute, engloutissant d’un seul coup ma fière queue bien dressée. Sans aucune léchouille d’introduction, elle pompe ma tige, telle une grosse sucette, et ça me fait un sacré effet ! Elle s’applique, sans chichi, spontanément, comme si mon sexe lui était naturel. Ça me fait vraiment plaisir de voir une femme, ma femme, s’occuper de ma bite sans faire la moue, et non par obligation.
    
    — Voilà, très bien… oui, comme ça… continue comme ça, ma belle ...
    ... poufiasse ! Oui… oui…
    
    Elle sait y faire, cette petite garce ! Parfois je me demande si d’autres hommes bénéficient de ses talents. Il est vrai que je ne sais pas ce qu’il peut se passer à son boulot, d’autant qu’il y a beaucoup d’hommes sur place. Elle va aussi de temps à autre à la gym, et là aussi, j’ignore bien des choses. Peut-être se fait-elle la main ou plutôt la bouche sur d’autres hommes que moi…
    
    — Y a pas à dire, tu fais ça bien ! Oui, continue !
    
    Peut-être aussi que je me fais des idées. Peut-être que je fantasme inutilement. Peut-être que ma femme m’est sans doute fidèle. Je ne sais pas. Tout ce que je sais, et ça, je le sais parfaitement, c’est que ses lèvres savent me procurer un divin plaisir et que c’est le septième ciel !
    
    — Hmm… encore… oui…
    
    Sa bouche de salope est si suave, si chaude, si humide que c’est très difficile de résister ! Sa langue agile et chaude taquine, lèche, caresse ma colonne de chair et mon gland écarlate. Comment un simple contact peut-il procurer tant de sensations, de plaisirs ? J’essaye de juguler le flot qui monte en moi, mais c’est difficile, très difficile, trop difficile !
    
    — Y a pas à dire, t’es une sacrée salope ! Tu suces divinement !
    
    Puis n’en pouvant plus, dans un long râle, je lâche tout, j’inonde cette bouche si sensuelle qui me fait tant de bien ! J’expulse mon foutre en longues saccades, je me vide, tandis qu’elle me boit. J’adore quand ma femme se comporte en pute, quand elle avale tout !
    
    — Vas-y, ma ...