1. Mal de dos


    Datte: 15/10/2020, Catégories: fh, couple, Oral coprolalie, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... moins souffrir, mais je sens que je n’ai pas trop intérêt à me lever et à gambader. Quelques minutes et quelques pages passent, puis j’entends du bruit. Peu après, la porte de la chambre s’ouvre sur ma femme qui vient m’annoncer :
    
    — Tu sais que c’est bientôt l’heure de manger ?
    — Déjà ?
    
    Je jette un coup d’œil sur le radioréveil : en effet, c’est presque l’heure du repas. Faisant la moue, je réponds :
    
    — Je n’ai pas trop faim, tu sais. Tu peux dîner sans moi…
    — Tu ne veux vraiment rien ?
    — Si j’ai faim, j’irai manger un fruit ou deux.
    
    En général, quand je suis malade, je mange nettement moins. Mais si maintenant je devais manger quelque chose, ce serait ma femme. Comme il fait chaud dans la maison, elle a revêtu une ancienne robe d’été qui lui sert de vêtement décontracté à tout faire, et cette robe de plus en plus patinée ne cache plus beaucoup ses charmes et ses courbes, sans parler du fait que ma femme est rétroéclairée par la lumière du couloir, ce qui dévoile encore plus de choses ! D’ailleurs quelque chose plus bas, entre mes jambes, frémit un peu. Non, je n’arrive pas à me lasser de ma moitié malgré les années ! Mais hélas, aujourd’hui, vu mon dos, je ne peux pas sauter sur mon aguicheuse, comme il m’arrive souvent de le faire en temps normal.
    
    Elle s’avance un peu dans notre chambre, je distingue mieux ses formes à moitié cachées. Se penchant légèrement sur moi, elle me demande :
    
    — T’es sûr que tu n’as besoin de rien ?
    
    Je proposerais bien quelque ...
    ... chose, mais, moins salace, ma bouche répond :
    
    — Non, non, merci, ma chérie…
    — Il ne te faut vraiment rien ?
    
    Une fois, soit, mais deux fois, c’est tenter le diable ! Pour toute réponse, je découvre la couverture, révélant un sexe qui commence à se tendre. Hochant de la tête, ma femme sourit :
    
    — Pour ça, t’es pas malade !
    — Même à l’article de la mort, je ne m’avouerais pas vaincu !
    
    Mon sexe s’érige de plus en plus fièrement, tel un obélisque. Je le désigne :
    
    — Et si tu lui donnais un petit coup de main pour qu’il soit bien raide ?
    — Et pourquoi je ferais ça ?
    — Parce que je te le demande et parce que je suis un pauvre malade !
    — Ben voyons !
    
    Elle râle pour la forme, ce qui ne l’empêche pas de poser ses doigts sur ma bite qui frémit sous son contact. Après quelques taquineries, elle s’empare fermement de ma queue et commence une bonne branlette comme elle sait si bien le faire. Ça dure environ une bonne minute, puis elle se redresse, me demandant :
    
    — Ça ira comme ça pour Monsieur ?
    — Je ne serais pas contre un petit supplément…
    — Ah oui ? Monnayable comment, ton petit supplément ?
    — Des robes sur Bon Prix, ça te convient ?
    — Bonne initiative !
    
    Gracieusement, elle s’assied sur le bord du lit, puis elle regarde droit dans les yeux :
    
    — Tu me prends pour une pute ?
    — Pourquoi tu dis ça ?
    — Des robes contre une pipe, c’est quoi, à ton avis ?
    — Un échange de bons procédés, non ?
    — Ah oui ?
    
    Son air narquois m’excite encore plus. Sans parler ...