Diane, chasseresse et chassée
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
hagé,
campagne,
Oral
fist,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
init,
délire,
Humour
totalsexe,
Auteur: Mimi, Source: Revebebe
... la serviette, elle s’offre aux regards, nue comme un ver, elle tend ses fesses à Théo et l’invite à la toucher. Aussi gêné que son oncle, il pelote timidement. Elle n’en peut plus, de cette lenteur à saisir l’occasion, elle pose son cul sur le bord de la table, écarte largement les cuisses, sa chatte bée, elle ordonne :
— Pas question de perdre ta semence, prends-moi le sexe avec ta grosse queue.
Elle se couche sur la toile cirée, dans le sperme de l’oncle. Cette vision rend fou le neveu qui enfonce son chibre puissamment dans le con de la citadine plus toute jeune mais tellement désirable.
— Putain, t’es gros, jure Diane, les lèvres de son sexe écartelées, qui adhèrent comme une ventouse sur ce pieu qui va-et-vient.
Elles sentent la violence des coups et Diane a la sensation d’être déchirée. Elle demande à Gus, médusé de vivre une telle scène, de s’approcher. Elle rebouffe le gros dard de ce dernier tandis que le neveu transpire à la défoncer. Quand le vieux a repris de la vigueur, elle repousse le jeunot qui proteste, elle s’accoude à la table, cul tendu et invite le vieux bedonnant en ces termes :
— Gus, viens me prendre comme tu prends tes chèvres quand la Félicie ne veut pas de toi.
À ces mots, le vieux tombe son pantalon sur ses chaussures, Diane sent le gros ventre frôler son cul. Elle précise :
— Lèche d’abord pour huiler l’entrée.
Il la bouffe littéralement, lui force l’anus de sa langue de bœuf.
— Ah oui, gros dégueulasse, tu sais y faire ...
... ! commente-t-elle.
Il confirme en la doigtant d’un médium énorme, et puis il pénètre lentement, de peur de la déchirer. Le gros saucisson écarte les sphincters, il pilonne ses fesses maigres qui s’empalent sans retenue. Diane beugle, le neveu n’en peut plus, il se branle avec force et couvre bientôt la tête de la femme de purée blanche. À cette vue, le Gus lâche son jus épais dans l’antre de la vieille belle qui pleurniche de plaisir.
— Ah ! c’est bon, ah ! c’est bon, encore, encore !
Michel, sous le lit, part aussi. Il se mord les lèvres pour ne pas être entendu. Couché sur le dos, il sent les giclées chaudes qui retombent sur son ventre.
Les deux paysans ne sont pas repus, ils ont couché Diane sur la table et la suce de partout. Le neveu, la tronche entre les cuisses féminines, bouffe la chatte avec voracité, le Gus mord ces petits seins qui l’énervent par leur fermeté et leurs pointes dressées. Le neveu mord aussi, mais l’intérieur des cuisses tandis que ses doigts rentrent dans le cul enspermé, puis ressortent pour transmettre la semence à la chatte devenue vaste sous les coups de pilon de l’oncle. Il ne craint pas de rentrer le poing dans cette chagasse qui s’agite vicieusement, tandis que de l’autre main il réveille son mandrin en le branlant énergiquement.
Une fois tous vidés, elle les raccompagne, nue, jusqu’au bas des escaliers. Ils ont envie de pisser, ils sortent leurs bites, elle s’en saisit et les tient pendant qu’ils évacuent deux litres de pisse ...