Diane, chasseresse et chassée
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
hagé,
campagne,
Oral
fist,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
init,
délire,
Humour
totalsexe,
Auteur: Mimi, Source: Revebebe
C’est la mère d’un copain d’école primaire, une descendante d’Italiens, fine et racée, portant élégamment le nom de Diane, froide d’allure comme une statue du forum, au-dessus de tout soupçon d’adultère. Il l’a revue un matin dans l’unique rue du village ardéchois. En dépit de la différence d’âge – elle approche les 75 ans et lui, les 50 – il a éprouvé un choc, au point de la complimenter en la qualifiant de vraie pin-up. Sans doute les fesses entoilées étroitement dans un pantalon bien ajusté !
Depuis, il ne pense qu’à aller la surprendre dans sa maison isolée dans la colline, à l’orée d’un bois de pins odoriférants. Il connaît bien la maison et les lieux, et sait qu’à part un chasseur égaré, personne ne passe au pied de la bâtisse.
Aujourd’hui, il s’est décidé. Il monte jusqu’au site calme tandis que son esprit bouillonne de pensées animales et que son sexe lui fait mal. Il l’aperçoit, occupée à trier des légumes sur le perron couvert d’un toit de vieilles tuiles romaines. Elle le voit arriver et s’exclame d’une voix claire et assurée :
— Ah ! Michel, c’est toi. Ça fait longtemps que tu n’es venu ici !
Le regard gris l’intimide soudain, le sourire franc le décourage, mais les jambes longues et les petits seins le réconfortent aussitôt. L’innocence de cette Diane non chasseresse le titille au niveau des bourses. Il se jure de ne pas repartir bredouille. Elle le fait rentrer sans méfiance et lui propose un café. Ils échangent des nouvelles et lui, profite qu’elle ...
... s’affaire sur sa cuisinière pour imaginer les trésors de chair que cache la jupe ample. Une certaine maigreur des mollets, un sweat pratiquement plat, le font bander.
Elle émet un juron très prude quand elle se brûle les doigts avec la queue de la casserole. Elle remplit les tasses et s’assoit en face de lui. Il avance son premier pion en lui prenant la main au prétexte d’évaluer le bobo. La peau ridée est un peu rouge, il souffle délicatement sur la brûlure et affirme, en glissant les doigts dans sa chevelure à lui, que c’est un moyen d’atténuer le mal. Elle retire vivement sa main, elle joue les offusquées et sauve la face en assurant qu’elle n’est pas douillette.
Le doute sur le rouge qui a envahit ses joues énerve le mâle et lui laisse à penser que la partie ne sera pas facile. Il décide d’être rapidement fixé, il se lève et d’un ton péremptoire lui dit :
— Allons, faites-moi voir ça !
Il reprend la main, puis caresse délicatement l’avant-bras. La peau frissonne. Elle l’interroge :
— Qu’est-ce que tu fais ?
Pour toute réponse, il l’oblige à se lever, il l’attire contre lui et dit :
— Laissez-moi faire, je vais vous guérir.
Il l’enlace fermement, pressant son bas-ventre contre son pubis. Elle sent la bosse du sexe masculin, elle se débat.
— Tu deviens fou, mon petit Michel.
À quoi il répond en serrant plus fort la taille et en approchant ses lèvres de la bouche qui parle. Il est surpris de sentir le corps de la femme se ramollir, il constate ...