Diane, chasseresse et chassée - Histoires de Sexe

Diane, chasseresse et chassée

... ! oui, j’aime, répond-elle dans un souffle. Continue c’est trop bon, il y a si longtemps, je ne me souvenais plus que c’est si bon, baise-moi, plus fort encore, défonce-moi, tu es vigoureux, ta bite est si grosse, ahhh ! Ouuuiii !

Les bruits de chatte dégueulant de foutre font craquer l’homme, il éjacule, abondamment, au fond de la matrice qui se contracte en spasmes sous l’effet de l’orgasme. Elle l’embrasse à pleine bouche, à pleine bave. Ils restent un long moment étendus, elle lui caresse le torse, lui mordille les seins, il bande bientôt à nouveau et veut lui faire la totale. Il la met à genoux sur le tapis de laine, et se présente derrière ce cul osseux presque fragile. Cette vue le rend sauvage, il lèche la raie, pointe l’anus avec sa langue, elle gémit de plaisir et s’inquiète :

— Que vas-tu faire ?
— Je vais vous sodomiser.
— Tu vas me faire mal, dit-elle inquiète, je suis vierge de ce côté-là.
— Goûtez et vous m’en direz des nouvelles.

Il s’enfonce lentement, le chibre enduit de salive pénètre peu à peu, puis sentant qu’elle se contracte, il l’encule brutalement, jusqu’aux couilles. Elle hurle d’abord de douleur puis d’envie.

— Encore, encore, ah oui, tu me défonces, c’est grandiose, baise, baise-moi, plus vite, plus au fond, aahhhh !

C’est une véritable chienne qui s’empale à grands coups de reins. Plus de préjugés, de tabous, elle se doigte la chatte en même temps qu’elle reçoit des grands coups de queue. Il finit par lui inonder l’intérieur de ...

... sperme. Elle se jette sur lui pour l’embrasser à pleine bouche, lui prouvant ainsi la grandeur du pied qu’elle a pris.

Ils vont encore profiter de l’isolement qui est le leur dans cette prairie sauvage. Il va lui faire subir d’autres outrages pour qu’elle découvre ce que la morale de sa jeunesse l’a empêchée d’apprécier. Diane s’est levée, elle se déplace dans la chambre en se pressant les seins, en tortillant du cul, elle joue à la jeune starlette, s’admire dans la grande glace de l’armoire, elle s’exclame avec des regrets dans la voix :

— Ah ! qu’est-ce que j’ai failli rater, c’est trop bon, l’amour fait comme ça, ah ! j’ai encore envie que tu me baises !

À cet instant, on frappe à la porte de la cuisine, trois marches plus bas. Elle s’enveloppe dans une grande serviette de bain et lui recommande de ne pas bouger. Elle va ouvrir. Par l’entrebâillement de la porte de la chambre, il découvre deux chasseurs en treillis. Il décide de se glisser sous le grand lit pour mieux suivre la conversation qui débute et voir sans être vu. Diane, les sens encore très aiguisés, jouit de la situation et provoque :

— Entrez, ne faites pas attention à la tenue, je m’apprêtais à faire ma toilette.

Manifestement, elle connaît les deux paysans qu’elle nomme familièrement Gus et Théo. Ils expliquent qu’ils cherchent leurs chiens et qu’ils ont froid. Diane leur propose un coup de gnôle. Après les avoir fait asseoir, elle se déplace avec sensualité en tortillant à peine son petit cul. ...