1. Samia - 26 La rivière des esclaves.


    Datte: 15/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mia-michael, Source: Hds

    ... qu’on est canon, toutes les deux. On a dû leur coûter bon/bon, au marché aux esclaves. Moi, vous me connaissez. Je ne suis pas très grande, mais j’ai des seins en poires bien fermes, une taille fine, des fesses bombées et une chatte aussi lisse qu’un galet de l’oued El Abid. Josiane est un peu moins belle que moi : ses seins assez lourds ont un petit coup de fatigue, ses fesses un peu de cellulite. Je crois qu’ils ont reçu cette deuxième esclave en m’achetant, mais elle est quand même plus que comestible. Je mélangerais bien nos sueurs... hé oui, il fait plus de 35°. Je lui demande tout bas :
    
    — Lequel tu prends ?
    
    — N’importe, ma chérie, on les échangera.
    
    Djibril a entendu et il hausse la voix pour dire :
    
    — Et depuis quand c’est les esclaves qui choisissent ?
    
    C’est sûrement pour rire... mais il me fait quand même un peu peur. Il ajoute :
    
    — Toi (moi), viens ici !
    
    Je m’approche de lui... Il me prend par la taille et me colle à lui en disant :
    
    — Tu es quoi ?
    
    — Votre esclave, Maître (euh... c’est pour rire que je dis ça, bien sûr).
    
    Josiane et le cousin rigolent, Djibril aussi. Il me prend par la main en disant :
    
    — Viens te baigner.
    
    — Y a pas des crocodiles ?
    
    Ça y est, ils se remettent à rire, mais qu’est-ce que j’en sais, moi ! On entre dans l’eau, c’est agréable, elle est fraîche par rapport à la température extérieure. On joue, comme des hommes et des femmes, c’est-à-dire que les hommes nous taquinent... Et puis on se frôle... On a ...
    ... de l’eau jusqu’à mi-cuisses. Djibril me prend à nouveau contre lui, mais, de dos. Je sens sa bite contre mon derrière. Il me dit :
    
    — J’aime tes fesses.
    
    Moi, j’aime sa bite. Le cousin prend Josiane contre lui, de la même manière, et ils s’approchent. Djibril nous dit :
    
    — Excitez-nous les filles.
    
    À mon avis, ce n’est pas nécessaire, à sentir sa bite contre moi, mais je ne demande pas mieux. Les seins de Josiane se frottent aux miens, tandis que sa bouche cherche la mienne.
    
    Derrière moi, le sexe de Djibril essaye de trouver le chemin du paradis, c’est-à-dire ma chatte. Il s’est baissé derrière moi pour y arriver et le cousin fait la même chose à Josiane. Ils sont très au point, les cousins ! J’ai l’impression qu’ils ont dû en tirer, des jolies Berbères, dans la rivière des esclaves... Enfin, les filles Berbères sont peut-être plus sérieuses que nous, alors disons des jolies touristes. Josiane et moi, on est jeunes, même très jeunes en ce qui me concerne, mais on a déjà vu le loup toutes les deux et plutôt deux fois qu’une. Parfois deux ou trois loups en même temps, d’ailleurs. On connaît la marche à suivre, on écarte les cuisses en se cambrant, genre nos terriers n’attendent que vous, Messires Loups. Tout en caressant mes seins, Josiane me dit :
    
    — Putain, il est bien monté, le mien.
    
    — Le mien aussi et il sait y faire.
    
    Djibril me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
    
    — Arrêtez de jacasser quand on vous baise, femelles !
    
    — Oui Maître, ...