1. Samia - 26 La rivière des esclaves.


    Datte: 15/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mia-michael, Source: Hds

    ... de bander en conduisant.
    
    Nos lèvres se séparent pour pouvoir rire.
    
    On arrive sur le site de la cascade d’Ouzoud. Djibril gare le pick up. Notre destination est une cascade qui se trouve au fond d’une gorge, 100 mètres plus bas. On descend par un sentier assez raide et on arrive sur le site. La cascade est vraiment spectaculaire. Le point positif : c’est très beau. Les points négatifs : il y a beaucoup de monde et il fait tellement chaud qu’on est en sueur. Je demande à Djibril :
    
    — On peut nager ?
    
    — Ici, non, mais on va aller un peu plus loin sur la rivière.
    
    — Cool...
    
    On admire le site, puis on va boire un Coca dans un petit café installé dans la gorge. On remonte et on reprend la voiture pour aller vers l’endroit que Djibril et son cousin connaissent. C’est au bord de l’oued El Abid, ce qui signifie littéralement "la rivière des esclaves". Un nom qui me plaît. Je fais remarquer à Josiane :
    
    — Ça convient très bien aux maris.
    
    Djibril répond :
    
    — Non, ça convient mieux aux femmes.
    
    Josiane et moi, on se regarde et je conclus en silence qu’effectivement, Djibril pourrait être le maître et nous ses esclaves. Il doit nous dépasser de 20 cm et peser 30 kg de plus. Et surtout, c’est un homme, lui, pas un jouet comme les deux autres.
    
    Il arrête le pick up. On descend, Djibril nous annonce :
    
    — On doit suivre ce sentier, mais c’est beaucoup moins long que pour la cascade.
    
    Il se retourne vers son cousin et lui dit :
    
    — C’est ici qu’on venait ...
    ... chercher des pointes de flèches et des perles en coquille d'œuf d’autruche, quand on était gamin. Tu te souviens ?
    
    Les jumeaux tournent la tête ensemble vers lui et lui en disant :
    
    — C’est le néolithique du Sahara ?
    
    — Je ne sais pas, mais les pointes de flèches sont très belles.
    
    — Vous croyez qu’il y en a encore ?
    
    — Oh oui, personne ne connaît cet endroit. Allez là, sur ce promontoire, vous verrez tout de suite des outils en pierre et des morceaux de coquilles d’œufs d'autruche. Ensuite, il suffit de suivre ce sentier pour nous rejoindre.
    
    — D’accord, on y va.
    
    Ils filent aussitôt. Je pense « bien joué ! » parce que Djibril s’est sûrement dit que la baignade pourrait vite se transformer en parties de jambes en l’air. En 10 minutes, on est en bas, au bord de la rivière des esclaves. Il y a un bel endroit dégagé, entouré de joncs... Ce matin, Josiane m’a demandé si elle pouvait donner des ordres à mon mari. Bien sûr, les maris sont là pour obéir. Josiane dit à Julien et Robert :
    
    — Vous gardez nos affaires et vous faites le guet. Si vous êtes sages, vous pourrez vous baigner après nous.
    
    Là, ils ne sont plus d’accord du tout... mais non, je rigole ! On se déshabille. Les Maîtres : Djibril et son cousin, aussi (impossible de me souvenir du prénom du cousin). Ils sont grands, costauds et ils ont des sexes qui me mettent des langueurs entre les cuisses. D’autant plus qu’ils commencent à gonfler dès que les esclaves – Josiane et moi – se déshabillent. Il faut dire ...