Les couples se forment
Datte: 13/10/2020,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
Auteur: Fcomblee, Source: Revebebe
... demande-t-il ironiquement.
— Je ne sais pas, de toute façon je n’ai pas faim.
— Moi j’ai une faim de loup… mais de toi !
— Gourmand ! Si on restait à la maison avec un bon petit vin ?
— Voilà une idée qui me plaît.
— Au fait, la trouves-tu bandante ?
— Qui ?
— Mathilde.
— Honnêtement, c’est sa timidité que je trouve bandante mais je préfère de loin imaginer ton corps nu se trémoussant sous mes caresses. Elle est mignonne mais c’est de toi dont j’ai follement envie, pas d’elle !
— Rentre ta voiture au garage, je veux qu’ils se croient seuls ici quand ils rentreront.
Il riait encore en rentrant dans la maison. Nous montons avec notre petit Saint-Emilion pour nous abandonner l’un à l’autre délicieusement. Marc s’assoupit et moi j’attends, impatiente.
Il est plus de minuit lorsque j’entends parler dans les escaliers. Une fois Mathilde dans sa chambre, contiguë à la mienne, je comprends ! J’entends tout comme si j’y étais et je sais qu’elle n’est pas seule. Depuis 4 ans qu’elle vivait là en permanence, elle avait dû entendre chaque fois que nous faisions l’amour avec François, chaque fois que je criais. A-t-elle compté le nombre d’orgasmes que j’ai eus ? Elle était sacrément discrète pour que je ne l’aie jamais entendue !
Je n’ose même pas respirer de peur qu’ils m’entendent. Marc, se réveille. Je lui fais signe de ne rien dire et nous écoutons (l’oreille collée au mur) ce qu’il se passe derrière la cloison.
— Oh Mathilde, c’est si bon de pouvoir ...
... t’embrasser. Tu me rends dingue depuis tellement longtemps. Tiens, tu sens l’effet que tu me fais ? Tu n’imagines pas le nombre de fois où je me suis trouvé dans un tel état en te voyant. Mathilde, tu veux bien que je m’occupe de toi ?
Je n’entends pas la réponse de Mathilde et au fond de moi j’espère qu’elle a accepté.
— Non laisse la lumière allumée, j’ai envie de te voir nue, ajoute Jean-Louis
Je n’en croyais pas mes oreilles, Jean-Louis que je croyais timide ! Je n’étais pas au bout de mes surprises.
— Allonge-toi, je vais te faire du bien. Dis-moi si tu aimes ce que je fais. Tes seins sont superbes ! Tu peux caresser ma queue doucement pour la détendre.
— Comme elle est grosse !
— C’est parce que je suis très excité, ça t’excite toi ?
— Oh oui ! Elle est si dure !
— Ne me dis pas que tu n’as jamais branlé une bite dure ? Branle-moi bien ! Ta main est douce et je me sens gonfler !
Marc aussi était excité et il en profitait pour me peloter, mais j’avais envie d’entendre la suite.
— Mais qu’est-ce que tu fais ? explose Mathilde
— Je goûte ta chatte, tu n’aimes pas ?… Humm, elle est bonne et tu mouilles d’enfer. Tu vas voir, ma grosse queue va rentrer comme dans du beurre.
Il s’ensuit une série d’onomatopées du style « Oh », « Oui », « Ah ».
— Je n’en peux plus ma douce, je veux te prendre. Tu veux que je te prenne ? Que c’est bon de te baiser enfin… Je suis bien dans ta petite chatte crémeuse… Tu es bonne… Tu sens bien ma queue ? C’est si bon de te ...