Les couples se forment
Datte: 13/10/2020,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
Auteur: Fcomblee, Source: Revebebe
... plateau, je le trouve assis, immobile, les joues dans les mains, il contemple le feu. Le masque de suffisance est tombé et j’ai devant moi un homme qui semble harassé. Je pose le plateau sur la table, il se lève et dit :
— Vous me troublez énormément et je vous désire. Il vaut mieux que je parte sinon je ne réponds plus de moi.
— Vous capitulez encore ? Je vous ai trouvé plus combatif tout à l’heure ! Nous sommes adultes et je pense que nous pouvons nous parler franchement. Pourquoi lutter contre nos désirs ? Pourquoi ne pas me demander si j’ai envie de faire l’amour ?
Il se retourne et s’avance vers moi.
— Depuis combien de temps, n’avez-vous pas fait l’amour ?
— Plusieurs mois.
— Comment est-ce possible ? Vous êtes magnifique et tellement désirable.
— Je n’en avais pas envie.
Je ne pouvais pas lui dire que tous les hommes me décevaient.
— Mais aujourd’hui, j’aurais bien besoin de me blottir dans vos bras.
Il ouvre les bras et je me colle à lui. Nous sommes restés un grand moment comme ça, sans bouger. Je me sens si petite contre lui et si vulnérable et ça me fait un bien fou !
— Vous mettez mon endurance à dure épreuve, lâche-t-il dans un souffle.
Il embrasse ma tête que je bascule en arrière à la recherche de ses lèvres. Nous échangeons notre premier baiser passionné. Ses yeux si froids jusqu’alors, pétillent, il se jette littéralement sur moi. Il retrousse ma robe, prend juste le temps d’écarter mon slip, de pousser un « humm » de satisfaction ...
... au contact de ma chatte mouillée tout en libérant sa queue de son pantalon devenu trop étroit et me pénètre d’un coup. Le moment de surprise passé, je commence à apprécier ses coups de reins puissants, je le vois lutter contre sa jouissance en attendant la mienne. Quand enfin, je suis secouée par une vague de spasmes, il se déverse en moi et s’affale sur moi pour m’embrasser.
— Je suis désolé, dit-il, ça fait 4 heures que je suis bandé et je n’en pouvais plus. En principe, je suis moins pressé.
— Ah bon ? répondis-je malicieusement. Vous voulez visiter ma chambre ?
— Avec grand plaisir, mais à la condition que l’on se tutoie.
Tels deux adolescents, nous montons dans ma chambre en nous tenant par la main. Le plus naturellement du monde, nous nous déshabillons. Je le laisse le temps de prendre une douche rapide. Il est allongé les bras derrière la tête, et lorsque je réapparais, il m’incite à venir me coucher contre lui, la tête sur son épaule. Il caresse délicatement mon dos et mon bras.
— Tu es douce. Tu aimes quoi en amour ?
— Tout.
— Tout ? reprend-il surpris, avant, pendant, après, devant, derrière, en haut, en bas ?
— C’est assez imagé, dis-je en éclatant de rire, mais oui c’est ça.
Il embrasse mes lèvres, mon cou, mes seins, il fait durcir mes tétons en les suçant tel un bébé. Il explore mon entrejambe avec ses doigts, avant de laisser la place à sa langue. Plus rien à voir avec la fougue de quelques instants auparavant, il prend son temps pour mon plus ...