1. Les couples se forment


    Datte: 13/10/2020, Catégories: fh, amour, volupté, Oral pénétratio, Auteur: Fcomblee, Source: Revebebe

    ... un brushing. Pendant les vacances des enfants, vous devriez en profiter pour aller faire quelques emplettes. J’en profite pour prendre un bain aussi en attendant (j’ai bien besoin de me relaxer) et j’appelle Marc pour lui raconter les révélations du matin. Il paraît encore plus gêné que moi. Mathilde m’appelle et je m’emploie à la relooker. Je sèche ses cheveux clairs en leur donnant du volume et la maquille très légèrement, juste pour qu’elle ait bonne mine. L’heure file à une allure incroyable.
    — Filez vous habiller, ça va être l’heure.
    
    Nous sommes toutes les deux assises dans le salon. Mathilde est angoissée comme si elle allait à son premier rendez-vous.
    
    — Vous êtes très mignonne et je pense que Jean-Louis va tomber en vous voyant, mais il est un peu timide, alors il ne va pas falloir que vous le repoussiez. Essayez de vous montrer un peu entreprenante. La sonnette nous interrompt, c’est moi qui vais ouvrir et qui introduis Jean-Louis dans le salon.
    — Bonsoir Madame, bonsoir Mathilde, vous êtes ravissante.
    
    Il ne la quitte pas des yeux ce qui la fait rougir.
    
    — Jean-Louis, les enfants étant partis, Mathilde est en congé. Donc ce soir c’est moi qui fais le service. Asseyez-vous, je vous en prie.
    
    Je m’exécute, bien qu’ayant perdu l’habitude de ce genre de choses depuis que Mathilde fait tout à la maison, et je ne m’en sors pas si mal.
    
    — Je n’ai pas la dextérité de Mathilde mais c’est un apéritif à la bonne franquette auquel je vous ai invité afin que nous ...
    ... parlions du jardin.
    — C’est parfait Madame, répond Jean-Louis.
    — Cette année je veux que l’allée soit bordée de tulipes, j’adore les tulipes.
    
    Je sens Mathilde prête à me suppléer mais juste un regard de ma part et elle comprend qu’elle doit rester assise. Nous discutons des bulbes à commander et des arbustes à planter, devant notre verre et nos canapés. Mathilde se détend peu à peu. Marc arrive et se joint à nous. Je vois Mathilde le regarder avec une certaine envie mais je n’en fais pas cas et je prie pour que Jean-Louis arrive à ses fins et surtout qu’elle se laisse aller. Vers 21h, je lance :
    
    — Je vous aurais volontiers gardé à dîner mais nous devons sortir. Ceci dit Jean-Louis, vous pouvez rester pour tenir compagnie à Mathilde.
    — Je pourrais aussi emmener Mathilde dîner dehors si elle est d’accord.
    — Très bonne idée Jean-Louis, elle n’a pas eu beaucoup d’occasions de sortir avec mes enfants à garder.
    
    C’est ainsi que nous quittons la maison tous les quatre. Je m’installe dans la voiture, ravie. Marc me regarde :
    
    — Tu es redoutable !
    — Tu trouves ? Je lui dois bien ça et il me tarde de connaître la suite.
    — Comment lui as-tu présenté les choses au téléphone ?
    — Je lui ai dit que Mathilde m’a avoué qu’elle en pince pour lui mais qu’elle n’osera jamais le lui dire et que comme je sais qu’elle ne lui est pas indifférente il fallait qu’il saute sur l’occasion. Pour Mathilde, il venait pour le jardin.
    
    Il éclate de rire et démarre
    
    — Où doit-on sortir ? ...
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