54.9 Un beau mâle brun et très très chaud.
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... intensément longtemps, mon esprit entièrement happé dans une déflagration de plaisir insoutenable, suspendu à la délivrance du premier jet.
Réelle délivrance, lorsque je sens enfin mes giclées décoller, tremper nos glands enlacés, effleurer mon torse, avant de retomber sur le sien ; un peu de ma jouissance atterrit entre ses pecs, effleurant sa chaînette ; le bogoss relève le menton pour protéger son visage.
Le passage de ma jouissance me laisse carrément assommé, les sens bouleversés, le ventre en feu, le cerveau vrillé. Sa main n’a pas cessé pour autant ses va-et-vient sur nos deux queues : un instant plus tard, je sens le manche de mon beau mâle vibrer sous le passage de son jus qui se presse pour gicler ; ses giclées sont puissantes, copieuses, la plupart effleurent à leur tour ma peau avant de retomber sur son torse. Ainsi, sa jouissance s’enchaîne à la mienne, son sperme se mélange au mien, sur nos queues, sur la peau de son torse sculpté.
Ses jets viennent tout juste de se terminer et une nouvelle surprise m’attend : alors que je tente de trouver les forces pour me relever et lui passer de quoi s’essuyer, ses mains me retiennent, m’attirent carrément contre lui, comme s’il s’en foutait que son torse soit trempé de nos jus mélangés ; sensation chaude et humide, qui me ferait presque oublier le contact avec ses poils qui repoussent ; ses mains m’enlacent, m’enserrent, me câlinent le dos, les épaules, la nuque ; elles caressent ; et surtout, elles me caressent ...
... après l’amour.
Je passe à mon tour mes mains derrière son dos, je le serre contre moi ; je couvre son cou de bisous, avant de m’abandonner de tout mon poids sur son corps, avant de me perdre dans ce bonheur masculin parfait.
Nous restons ainsi, l’un contre l’autre, nos corps enlacés, vidés, vibrants de l’écho de nos plaisirs respectifs qui ne semblent faire qu’un ; nos respirations, nos pulsations cardiaques se mélangent, fusionnent.
Mais ce qui me fait carrément délirer, c’est que non seulement nos pulsations cardiaques semblent taper à l’unisson ; mais qu’aussi les Battements de nos Cœurs semblent enfin vibrer sur une fréquence de plus en plus proche. Bonheur infini, indicible.
Je reste ainsi, abandonné sur lui, pendant un bon moment, jusqu’à ce que son étreinte se desserre. Je pose quelques bisous sur son cou, sa mâchoire, un dernier bisou sur ses lèvres, et je me relève. Son torse magnifique est complètement trempé, brillant de nos jus. C’est beau, et c’est incroyable : qu’il accepte ça, et que ça ne lui pose aucun problème. Encore il n’y a pas longtemps, cela aurait été inconcevable.
Je le regarde et lui souris, tout en lui tendant un t-shirt qui traîne pour s’essuyer.
Je le regarde effacer rapidement de son torse la trace liquide de nos jouissances, tout en me disant que l’intensité de nos plaisirs n’est pas prête de s’effacer aussi rapidement de mon esprit.
Mais qu’est-ce que c’est bon de coucher avec mon bobrun !
Je le regarde se lever, la peau ...