1. 54.9 Un beau mâle brun et très très chaud.


    Datte: 12/10/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... ».
    
    « Ah, putain, que oui… ».
    
    Débordé par le plaisir de me faire défoncer par mon beau mâle brun, je ne trouve plus rien à opposer à sa jouissance si proche, quelle qu’elle soit ; tout ce qui compte à mes yeux, à mes sens, c’est de le sentir jouir. Dans ma bouche, dans mon ti cul, ça n’a plus d’importance.
    
    « T’as envie de je te remplisse ? » il revient à la charge un instant plus tard.
    
    Le fait d’entendre sa question, de me voir offrir le choix, réveille violemment cette envie qui me ravage depuis le début. C’est une envie complètement déraisonnable, irrépressible.
    
    « J’en ai trop envie… mais j’ai aussi envie de… » j’essaie de lui répondre. Oui, celle de l’avoir en bouche est une envie déchirante ; une envie que, pourtant, je ne suis plus à temps pour exprimer. J’essaie de me retenir mais je n’ai plus le pouvoir de décider quoi que ce soit, mon bas ventre s’embrase définitivement.
    
    « Tu prends ton pied ? » fait Jérém, alors que je me sens perdre pied.
    
    Et là, je m’entends lui annoncer, la voix complètement éteinte, écrasée par la puissance de l’orgasme qui me secoue déjà :
    
    « Tu vas me faire jouir, Jérém… ».
    
    Pour toute réponse, le bogoss continue à me pilonner, à me branler, à caresser d’un téton à l’autre ; un instant plus tard, je jouis dans un grand râle, tout mon corps secoué par l’immense vague de plaisir causée et offerte par la puissance sexuelle de mon bobrun.
    
    Mon plaisir vient tout juste de s’éteindre, les coups de reins du bogoss ...
    ... ralentissent, s’arrêtent ; ses mains se posent mes hanches, je sens sa queue reculer, comme pour sortir de moi. Je viens tout juste de jouir, pourtant je suis toujours aussi excité, je veux sentir mon bobrun jouir.
    
    « Vas-y ne t’arrête pas… vas-y, jouis… ».
    
    Mais le bogoss a d’autres projets : il sort de moi, il me retourne, me fait mettre à genoux en douceur ; il fait glisser sa queue entre mes lèvres une fois, deux fois, quelques fois, en profondeur mais toujours en douceur ; un instant plus tard, il remplit ma bouche de sa semence.
    
    Ses traits sont puissants, copieux, nombreux, bien chauds, épais, plutôt corsés, un peu salés ; c’est un goût très mâle qui accapare toute la palette gustative de mon palais et de ma langue, un goût qui se répand dans ma bouche comme une épice, qui remonte jusqu’à mon nez ; boisson divine qui chauffe ma gorge et tout mon corps ; suprême délice qui me fait du bien, qui excite et réconforte, qui parle de la jouissance de mon homme et de son apaisement sensuel à venir. Il n’y a pas meilleure boisson, pas saveur plus délicieuse, que celle de la semence du garçon qu’on aime. Même après avoir déjà joui. Le jus du garçon qu’on aime se boit sans soif.
    
    Ses giclées viennent de se tarir mais je ne me lasse pas de me trouver à genoux devant sa puissance de mec, d’astiquer sa queue pour rechercher la moindre trace de cette saveur intense de liqueur d’homme, de ce cadeau de mâle qui me rend heureux ; et, surtout, je ne me lasse pas de ces caresses que ses mains ...
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