54.9 Un beau mâle brun et très très chaud.
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... encore en phase « d’expérimentation » qui plus est.
Une voix dans la rue, puis une autre, les deux très proches de la porte d’entrée ; deux personnes viennent de se croiser, elles ont l’air de se connaître, elles entament une conversation. Elles ont dû s’arrêter vraiment à proximité, à deux mètres à peine, leur conversation est bien perceptible, on dirait qu’elles sont dans l’entrée avec nous. Soudainement, dans ma tête, souvenir de la voisine de Jérém débarquant dans l’entrée de la rue de la Colombette pendant que je suçais mon bobrun ; j’imagine que dans sa tête le même souvenir doit faire surface.
Cela suffit à couper net son élan. Le bogoss se relève soudainement, il claque la porte, me retourne et il enfonce sa queue entre mes fesses. Il recommence à me pilonner avec des coups de reins amples et lents ; excitation extrême, la mienne ; excitation, la sienne qui amène ses lèvres et sa langue à flâner sur ma peau, sa bouche à titiller, à mordiller mes oreilles de façon insistante.
Très vite, la base de ma nuque, mes cheveux à proximité, mes oreilles sont humides, puis chauds, mouillés de son écume de mâle en rut ; la peau de mon cou et mes oreilles demandent et redemandent de ce contact, de ces pincements, de cette humeur de mec qui me fait sentir tellement à lui. Je mouille de plus en plus, je mouille à en faire couler ma queue.
« C’est trop bon, Jérém ! » je ne peux m’empêcher de lui annoncer, au sommet de l’excitation.
« Putain ce petit cul… » je ...
... l’entends lâcher à son tour.
« Tu l’aimes mon petit cul ? ».
« Ah, putain, qu’est ce qu’on y est bien dedans… ».
« Il est tout à toi, il n’y a que toi qui a le droit d’y être bien dedans… ».
Je suis au sommet de mon excitation, et mes mots visent avant tout à flatter son ego de mâle. Mais c’est aussi une façon de lui dire que je n’ai envie que de lui, que je n’ai jamais eu envie que de lui ; que même les quelques fois où j’ai couché avec d’autres gars, parce que lui-même m’y a entrainé ou bien parce qu’il m’avait blessé et j’avais eu besoin de réconfort, je n’ai jamais eu vraiment envie que de lui ; c’est aussi ma façon de lui dire que désormais, le nouvel Jérém peut compter sur ma fidélité la plus totale ; une façon de mettre le sujet fidélité, fidélité réciproque, sur la table.
« Ah, putain que c’est bon… » souffle le bogoss.
« Qu’est-ce qu’elle est bonne ta queue… tu prends ton pied là ? ».
« Grave… ton petit cul est fait pour se faire tringler… ».
Je trouve extrêmement excitant que mon bobrun, le bel étalon à poil très brun utilise ce mot que j’ai entendu quelques heures plus tôt de la bouche du jeune loup à poil doré ; décidemment, bomâle baiseur est un destin, avec des codes expressifs universels.
D’autant plus que l’expression « tringler » contient juste ce qu’il faut de vulgarité et de « crudité » pour être furieusement excitant, d’autant plus quand c’est dit par un bomâle en plein acte qui plus est.
« T’as envie de gicler dans mon ti cul ? ...