1. À poil !


    Datte: 12/10/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail forêt, pénétratio, Humour policier, aventure, nature, Auteur: Mirthrandir, Source: Revebebe

    ... notre recherche. Finalement, les bruits s’éloignent, nous n’entendons plus le 4x4, et nous restons seuls, dans le silence, sans oser bouger encore.
    
    Lorsque la nuit tombe sur la forêt, nous sommes sûrs d’être à nouveau seuls, mais complètement perdus. Nous hésitons à nous remettre en marche, mais dans l’obscurité, nous ne pourrions retrouver le chemin.
    
    Je me recroqueville pour une seconde nuit. Geneviève me tourne le dos, elle s’est emmitouflée dans la large chemise. Je ferme les yeux, tremblant de froid, cherchant un sommeil qui tarde à venir.
    
    Je finis par m’endormir, et c’est une sensation de chaleur qui me tire, plus tard, de ma torpeur. Geneviève est tout contre moi, nue, le dos tourné, et nous nous partageons la chemise en guise de couverture. Aurait-elle éprouvé quelque remords pendant mon sommeil ? Elle soupire, se colle à moi. Est-elle endormie ? Mon bras est passé autour d’elle, ma main repose sur le haut de ses seins, qu’elle masque partiellement de ses bras. Oserais-je ? Mes doigts descendent, effleurent un mamelon dressé, s’en écartent, y reviennent doucement. Geneviève se pousse davantage contre moi, écarte son bras pour dégager son buste, ses fesses se collent à mon sexe que je sens peu à peu enfler, durcir. Je me sens soulagé d’avoir gardé cette faculté, malgré le coup reçu dans les testicules.
    
    Ma main s’enhardit, entoure un des deux globes, le caresse lentement. Geneviève pousse sa tête contre la mienne, mon visage se perd dans ses cheveux, ma ...
    ... bouche atteint le lobe de son oreille, l’embrasse doucement. Je sens ses jambes bouger, sa cuisse se frotter à la mienne, pendant qu’elle arque le buste, tout entier offert à ma main cette fois. Je pétris les globes, l’un après l’autre, appréciant leur rondeur et leur fermeté, mes doigts titillent les mamelons, les entourent, les pincent.
    
    J’abandonne les seins, explore le ventre, palpe la douceur de la peau, sur laquelle courent quelques égratignures. Ma main court sur le corps offert, suit la courbe de la hanche, le galbe de la cuisse, remonte vers le ventre, vers la poitrine et s’y attarde, avant de redescendre sur le ventre, vers le pubis. Mes doigts atteignent la toison pubienne, descendent vers les cuisses encore serrées, reviennent sur la hanche, sur le ventre qu’ils pétrissent soigneusement, puis sur les seins aux mamelons durcis. Geneviève gémit, se renverse de plus en plus contre moi, son pied caresse ma jambe, sa main se glisse sur mon flanc, atteint la courbe de mes reins, se pose sur ma fesse et la serre. Sa jambe se hisse par-dessus la mienne, alors ma main quitte son buste, atteint le ventre, le pubis, s’aventure sur la face interne de la cuisse. La peau est chaude, presque brûlante. Je sens la main de ma compagne se presser sur ma hanche, pour mieux souder nos corps. Ses fesses se frottent sur mon sexe tendu contre ses reins.
    
    Malgré la fraîcheur de la nuit, nous commençons à transpirer sous la chemise qui recouvre le haut de nos corps. Nous ne sentons plus la ...