1. Un week-end avec Laurent


    Datte: 21/04/2018, Catégories: hh, extracon, copains, grossexe, froid, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral init, inithh, hbi, Auteur: Eric Bi, Source: Revebebe

    ... Isabelle n’est plus vraiment pareille, enfin, sexuellement je veux dire : elle est beaucoup moins portée sur la chose qu’avant.
    
    Je suis plutôt surpris, car j’imaginais Isabelle au contraire assez « portée sur la chose », ou en tous cas plutôt assez libérée.
    
    — En fait, continue-t-il, je crois que l’accouchement a modifié des trucs, et maintenant elle mouille beaucoup moins, alors j’ai du mal à rentrer… et ça peut lui faire mal.
    
    Bingo ! J’ai le même genre de problème avec ma femme. J’enchaîne aussi sec, et j’ajoute un début d’explication un peu osé : en ce qui me concerne, et sans vouloir paraître prétentieux, il se trouve que j’ai un sexe particulièrement imposant en érection (c’est en tout cas ce que plusieurs conquêtes ont pu me confier, s’étonnant toujours notamment de l’épaisseur de mon pénis), et je pense que c’est plus difficile à cause de ça.
    
    — Ah ben ça alors, s’exclame Laurent, c’est exactement la même chose pour moi ! Isabelle m’a fait remarquer qu’il fallait que je sois conscient de la taille de mon engin, et que je devais faire très doucement.
    
    La perche est tendue, et je la saisis immédiatement :
    
    — Oui, je sais, j’ai cru apercevoir que tu étais bien monté, comme on dit !
    
    Ça y est, c’est dit, je sens le feu monter envahir mes joues. Laurent vacille légèrement sur sa chaise, mais sa réponse est sans appel :
    
    — Oui, enfin on va dire que tu n’as rien à m’envier, hein ! J’ai bien vu aussi que tu avais des caleçons parfois très remplis !
    
    Ouh ...
    ... là, ouh là ! Je ne sais plus quoi faire. Mais finalement nous nous avouons mutuellement nos séances de voyeurisme et exhibitionnisme non assumées mais tellement excitantes.
    
    Évidemment, mon regard ne peut éviter plus longtemps de plonger sur le collant de Laurent, et ce que je vois est impressionnant. La forme de son sexe tendu se dessine parfaitement sous le fin tissu synthétique. Son gland semble pousser l’élastique et vouloir bondir à tout moment. Je suis scotché à cette vision, et je ne peux plus m’en défaire. Un coup d’œil à mon entrecuisse me confirme ce que je ressens : j’offre exactement le même spectacle à Laurent, qui ne cache pas non plus son obnubilation.
    
    — Bon ! m’écrié-je, eh bien on n’a qu’à enfin se montrer tout ça sans faire semblant de ne pas s’y intéresser.
    
    Seul l’alcool a pu me faire dire ça, je n’en reviens pas moi-même ! Laurent approuve d’un son guttural étranglé qui semble vouloir dire « oui oui bien sûr ». Je fais donc doucement glisser mon collant et mon boxer, et dévoile ma bite gonflée à bloc au regard de mon pote, dont je décèle l’énorme émotion au travers de son regard brûlant, et de sa grande difficulté à déglutir. Il m’imite aussitôt, et ce que je vois me fait tourner la tête. Un sexe magnifique, bien droit et lisse, un gland bien proportionné et une épaisseur au moins aussi étonnante que la mienne !
    
    — Eh ben dis donc, dis-je, je comprends mieux les difficultés que vous pouvez avoir maintenant. Mais, cela dit, tu as une bite vraiment ...
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