1. un weekend inoubliable (1)


    Datte: 12/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: judoka135, Source: Xstory

    ... de cacher ses seins avec ses bras.
    
    — Florent ! Ne reste pas là à te rincer l’œil ! cria-t-elle. Apporte-moi une serviette.
    
    Je me dépêchai de rejoindre la salle de bain afin de lui procurer ce qu’elle demandait. C’est alors que je me rendis compte qu’une bosse déformait dans mon pantalon ; mon trouble grandit de plus belle. Fraîchement séparé de ma copine depuis quelques mois, je n’avais pas réussi à retrouver une compagne et n’avais pu me consoler de ce manque d’un corps féminin qu’avec l’aide de ma main.
    
    Je ne suis pas spécialement moche. J’ai des cheveux marron mi-longs, des yeux bleu clair et un nez assez gros, héritage familial si je peux dire. Pour mon corps, il est musclé juste ce qu’il faut pour mon mètre quatre-vingt-cinq. Je plais à la gent féminine, mais ce qui m’empêche de conclure, c’est ma timidité. Mes amis ont bien essayé de me décoincer un peu, mais rien à faire : les mots me manquent lorsque je suis face à une fille qui m’attire.
    
    Quant à Clara, elle est sublime. Plus petite que moi mais pas trop, blonde aux yeux bleus, avec de très beaux seins, si j’en crois mon souvenir de tout à l’heure ; des fesses bien rondes qui lui donnent un sex-appeal du tonnerre. Elle n’a pas son pareil pour allumer les hommes avec son corps. Cependant, je ne l’ai jamais vue avec un homme pendant plus de deux mois.
    
    Je suis le romantique coincé, et elle l’impudique célibataire. Nos amis communs ont souvent plaisanté sur notre relation très complice, en nous demandant ...
    ... pourquoi nous ne sommes jamais sortis ensemble. À cela, elle répondait que je suis comme son petit-frère (alors que j’ai trois ans de plus qu’elle), ce qui avait pour effet de calmer les projets de chacun quant à une possibilité de couple entre elle et moi. Allez comprendre les femmes…
    
    Dès que je mis la main sur une serviette de bain, je me retournai pour la rejoindre mais la trouvai devant moi. Elle me demanda si je voulais bien lui défaire la fermeture de sa robe. Quand elle me tourna le dos, je ne pus qu’admirer ses sublimes courbes, mais d’une autre position ; je remarquai qu’elle portait un string en dentelle beige. Je commençai à la dézipper ; elle en profita pour faire descendre la robe jusqu’à ses cuisses avant de se retourner face à moi, les seins à l’air.
    
    — Je me suis dit que puisque tu en as profité pour les observer tout à l’heure, il ne sert plus à rien de te les cacher !
    
    Je restai scotché devant elle, la bouche grande ouverte, ne sachant que dire. Je lui tendis la serviette et partis me réfugier dans le salon où je bus d’un trait mon verre de whisky et j’allumai vite une cigarette pour faire retomber la pression et essayer tant bien que mal de calmer mon sexe qui avait atteint son amplitude maximale.
    
    — Florent, peux-tu m’apporter mes affaires dans la salle de bain, s’il te plaît ? J’aimerais prendre une douche et je ne veux pas m’habiller devant toi dans le salon. Merci !
    
    J’obéis sans réfléchir. Je toquai à la porte de la salle de bain en entendant ...
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