1. un weekend inoubliable (1)


    Datte: 12/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: judoka135, Source: Xstory

    ... remplir des seaux d’eau et de les vider dans le jardin. Une fois ce travail terminé, je remontai dans le salon, fatigué, pour m’écrouler sur le canapé.
    
    La sonnerie de mon portable me réveilla brutalement, et tandis que je le cherchais dans la poche gauche de mon pantalon, je regardai par la fenêtre et me rendis compte qu’il faisait déjà nuit. Il s’agissait de ma meilleure amie, Clara, qui habitait dans le centre-ville de Namur. De mon côté, je logeais dans une maison à la périphérie de Wépion, un village réputé pour ses fraises d’une excellente qualité.
    
    — Allô, Florent ?
    
    — Bonjour, Clara ; que puis-je pour toi, ma belle ?
    
    — Comment vas-tu ? Ça fait des heures que j’essaye de te joindre… Où es-tu ?
    
    — Bah, ici, chez moi, avachi sur mon canapé. Tout va bien ? Ta voix m’inquiète, que se passe-t-il ?
    
    — Ne tourne pas autour du pot, espèce d’imbécile ; tu ne pouvais pas me répondre ? Je t’ai appelé une vingtaine de fois ces deux dernières heures ; je me fais un sang d’encre pour toi. Allume vite la télévision et regarde les infos.
    
    Je ne me le fis pas dire deux fois. Au son de sa voix, je compris que quelque chose de grave était arrivé. Dès que l’écran s’illumina, je découvris avec horreur les dégâts causés par les orages et la pluie. Toute la ville de Namur était bloquée ; la Meuse et la Sambre avaient débordé des canaux, et l’eau commençait à pénétrer dans la ville. Ce fut à mon tour de m’inquiéter.
    
    — Clara, où-es-tu ? Tout va bien ? Tu es toujours à Namur ...
    ... ? Parle-moi !
    
    — J’aimerais bien, mais tu ne m’en laisses pas l’opportunité. Je suis sortie de chez moi avec un maximum de vêtements et je roule à cet instant vers chez toi ; je serai là d’ici cinq petites minutes. Je suis désolée de m’incruster chez toi, mais tu es la seule personne capable de m’héberger. Je dormirai sur le canapé dans le salon s’il le faut, mais je ne resterai pas une minute de plus chez moi. J’ai peur, Florent.
    
    J’acceptai sans discuter et me précipitai devant ma porte, attendant sa venue avec impatience. Cinq minutes plus tard, sa voiture arriva. Je la vis en sortir et courir vers moi à toute vitesse. J’ouvris la porte, et elle bondit littéralement à l’intérieur. Nous nous fîmes la bise puis elle retira ses chaussures trempées et s’installa dans le salon pendant que je refermais derrière elle.
    
    Je nous servis deux verres de whisky et vins m’installer à ses côtés pour la prendre dans mes bras et la rassurer. Elle fondit en larmes ; je lui offris mon mouchoir pour les essuyer. Je finis par la regarder enfin et ne pus que manifester mon trouble lorsque je vis apparaître deux très beaux seins, pas trop gros ni trop petits – du 85 B j’aurais dit – ainsi que des cuisses bien fermes. Ce corps magnifique s’offrait à mes yeux grâce à cette fichue pluie qui avait mouillé sa robe blanche, assez légère et très courte. Remarquant mon trouble, elle ne mit pas longtemps pour se rendre compte de l’état de sa tenue. Elle rougit à son tour et tenta tant bien que mal ...
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