1. Le chalet


    Datte: 10/10/2020, Catégories: fh, campagne, douche, Oral pénétratio, tutu, couple, Auteur: Le polisson, Source: Revebebe

    ... doigt, pour la pointe de ton sein. Tu participes à mon petit déjeuner. Ma gourmandise n’a pas de limites, j’ai envie de toi plus encore que de mon repas, tu es mon repas. Tu râles :
    
    — Tu ne t’arrêtes jamais !
    — Eh non !
    
    Tu râles, mais tu en redemandes en posant une pointe de confiture sur l’autre sein :
    
    — Tiens, fais-toi plaisir, mais ne fais pas de jaloux…
    
    Tu n’as pas besoin de me le répéter. Je te pousse jusqu’à ce que tu sois couchée, je viens t’embrasser et je descends lentement le long de ton corps. J’ai soif d’un autre nectar que celui que je viens de boire. Tu as compris et ton corps se prépare à m’accueillir, je sens déjà une le parfum de la tentation qui me guide vers sa source.
    
    Je lape. Tu gémis. Tu te dérobes. C’est ton tour de me plaquer sur le lit, de venir te positionner pour offrir ton con à ma langue ravie qui le fouille avec empressement. Je tends mes mains, je caresse tes seins. Tu te saisis de ma hampe, tu viens y déposer mille baisers, tu lèches la goutte de plaisir qui perle à son sommet. Tu la parcours de tes lèvres tièdes, tu me gobes avec la même gourmandise que celle qui me fait te donner du plaisir.
    
    Je glisse un doigt le long de ta fente, je viens agacer ton bouton d’amour. Tu ondules et viens à la rencontre de ma bouche vorace. Mon doigt remonte le long de tes lèvres, investit ta grotte humide et douce, remonte jusqu’à trouver un passage plus étroit, fermé. Curieuse, ma langue vient lui prêter main forte. Elle titille l’œillet ...
    ... odorant, le détend, le travaille avec la complicité du doigt. Un deuxième doigt se glisse dans ta grotte pour te procurer des frissons de plus en plus forts. Ma langue revient fouiller tes chairs en feu, je laisse mon doigt agacer ta rosette, je me concentre sur tes parois dont les sucs me régalent et font monter mon envie de toi.
    
    Tu ne t’occupes plus de mon mât, tu le gardes dans ta bouche comme une grosse sucette tout en donnant des reins pour venir à moi, pour venir, dans des mouvements désordonnés, pour me donner ton plaisir qui coule abondamment et que je bois avec délectation.
    
    Tu reprends tes esprits, tu te coules à mes côtés, offerte.
    
    — Prends-moi !
    
    C’est un ordre auquel je ne songerais pas à me dérober. Je viens sur toi, te possède d’un coup de reins. Tu retrouves le mâle en rut, tu plantes des griffes dans son dos pour l’inciter à plus de fougue encore, si seulement c’est possible. Je rentre, je ressors, je remonte tes jambes et les tiens de mes bras en appui sur le lit.
    
    Je pousse pour aller bien au fond, pour me sentir buter contre tes parois, je continue à pousser, plus fort, plus fort encore, sans ressortir. Tu ouvres la bouche, comme si tu manquais d’air. Je viens y poser mes lèvres encore odorantes de ton plaisir, te me prends goulûment en bouche, tes yeux sont exorbités et tu es secouée de spasmes.
    
    Tes spasmes compressent mon épée dans ton fourreau, je viens moi aussi, j’expire longuement, avant de reprendre mon souffle.
    
    — Tu m’étouffes ...
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