1. Le chalet


    Datte: 10/10/2020, Catégories: fh, campagne, douche, Oral pénétratio, tutu, couple, Auteur: Le polisson, Source: Revebebe

    ... tressautent et me rendent fou. Je les saisis et les porte à mes lèvres, je les mordille, j’ai le plus beau des spectacles juste devant mes yeux, je n’en perds pas une miette. Je te regarde dans les yeux, ton regard fiévreux, ton halètement, ton mouvement toujours plus rapide en disent long sur ton envie. Et tu t’écroules, dans un cri, dans un spasme, en me labourant les épaules de tes ongles manucurés.
    
    La nuit va être longue. Elle va être torride aussi. Tu as donné le ton.
    
    Tu te relèves, tu ôtes ta robe, tu te poses, impudique, sur le banc en face de moi, en m’offrant une vue imprenable sur ton intimité.
    
    — J’ai soif !
    
    Je me lève, je vais chercher un rafraîchissement, je reviens avec un verre, tu bois, je bois après toi. Je viens à tes lèvres fraîches et humides, je t’embrasse, tu te pends à mon cou. Je te propose une douche, tu te lèves et me suis.
    
    La cabine est étroite, elle ne permet pas toutes les fantaisies. Peu importe, le jet brûlant nous détend et une douce vapeur s’installe dans l’espace confiné.
    
    Je prends ton savon citron et m’applique à ne pas oublier la moindre parcelle de peau. Pour le dos, c’est facile et rapide, même si je m’attarde en bas du dos, là où le dos, justement, ne s’appelle plus le dos. Tu te tournes, m’offrant tes fesses auxquelles je me colle avant de me coller à te savonner le côté face. J’aime le faire mousser sur ton mont de Vénus, j’aime m’en badigeonner les mains pour venir t’en tartiner.
    
    Je m’attarde çà et là, je ...
    ... redescends, je fais mousser à nouveau, je remonte dans un geste lent et lourd. C’est ton tour, tu te retournes et me prends le savon, collée à moi. Tu passes tes bras autour de mon cou, tu m’embrasses langoureusement tout en me savonnant le dos. Tu te recules, à peine, je me tourne. Tu te colles à moi, je sens la pression de tes seins dans mon dos. Tu me savonnes encore et, un brin perverse, ta main s’attarde sur mes bourses. Je me détends, je suis bien, j’ai envie de toi, ta caresse produit son effet. Tu remontes sur ma verge, tu entames un lent va-et-vient, je reviens au garde à vous.
    
    — Tu aimes ?
    
    C’est plus une affirmation qu’une question, tu n’as pas besoin de confirmation. Je te laisse jouer, puis d’un coup, je me retourne, je te retourne, je te colle à la paroi et je me fiche en toi. Cette fois c’est moi qui suis en rut, d’autant que je n’ai pas pris mon plaisir tout à l’heure.
    
    Mes mouvements sont bruts, rapides, j’ai une envie animale de toi. De ton cul. De tes reins. De tes seins. Je les imagine, pressés contre la vitre de la cabine. C’est la vision de trop, la vision ultime, je décharge en râlant… tu te retournes, toute chatte et souriante. Tu m’embrasses, je stoppe le jet et nous sortons de la douche.
    
    Je t’enveloppe doucement d’un drap de bain, je te sèche en te caressant doucement à travers. Tu poses ta tête contre mon épaule, tu me souris, je t’embrasse dans le cou.
    
    Je reprends le drap de bain, je te passe un peignoir, je me sèche et en enfile un aussi. ...
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