1. Le chalet


    Datte: 10/10/2020, Catégories: fh, campagne, douche, Oral pénétratio, tutu, couple, Auteur: Le polisson, Source: Revebebe

    — Regarde ! Ma robe te plaît ?
    — Tu es sublime ! Reste telle quelle, je t’emmène…
    — Tu m’emmènes ? Mais où ?
    — Tu verras… c’est une surprise !
    
    Je te bande les yeux avec un léger foulard de soie, je te prends par la main pour t’installer côté passager. Je démarre. L’air du soir caresse ta peau tandis que nous sortons de la ville. Je fais tours et détours pour te faire perdre tout sens de l’orientation.
    
    Puis j’emprunte des chemins de traverses, différents des routes habituelles, sinueux, caillouteux… tu es curieuse de notre destination :
    
    — Mais où va-t-on ? Je ne connais pas la route…
    
    Je souris intérieurement, je te laisse à tes interrogations non sans jubiler. Ta robe est juste parfaite, tout comme toi d’ailleurs. Longue mais sans excès, légère sans être transparente, ouverte jusqu’à mi-cuisses, boutonnée sur l’avant. La tentation est trop forte. Je pose ma main sur ta cuisse. J’adore te sentir frissonner à la moindre caresse, promesse silencieuse. Ta peau est douce et tiède, mes doigts glissent le long de ta cuisse.
    
    Décidément, ta robe est vraiment extra… je peux remonter, sans qu’elle ne gêne ma progression. Je ne vois plus ma main, mais je te sens palpiter sous ma caresse.
    
    Tu grondes gentiment :
    
    — Concentre-toi, tu as toute la soirée pour abuser de moi !
    — Ah oui ? Et qui te dis que je vais abuser de toi ? Aurais-tu une idée du programme ?
    — Je te connais…
    — Tu crois ?
    
    Je continue ma caresse, je remonte et rencontre un bout de tissu fin, ...
    ... dentelé. Je le caresse du bout du doigt, m’amusant de tes réactions.
    
    — On est encore loin ?
    
    Je ne te réponds pas, tu verras, tu découvriras plus tard.
    
    Je retire ma main, te laissant frustrée… la route devient plus sinueuse, et pour le coup, je me concentre sur ma conduite. Nous arrivons, je coupe le moteur, je te retire le foulard. Nous sommes en montagne, devant un chalet. Je te prends par la main, t’aide à descendre, nous parcourons les quelques mètres qui nous séparent de notre destination.
    
    J’ouvre, tu prends place sur le sofa pendant que je donne vie au lieu : un feu qui crépite dans la cheminée, des bougies un peu partout, un encens léger, une musique douce.
    
    Je te rejoins. Le sofa est suffisamment large pour que je m’y vautre sans que tu n’aies à bouger. Tu viens te lover contre moi.
    
    — Dis-moi, tu m’as allumée tout à l’heure ! Et tu m’as laissée en plan !
    
    Tout en parlant, tu m’as enjambé, tu es venue, conquérante et sûre de toi. Je t’attire à moi. Je te colle à moi. Tu m’embrasses, avec fougue. Je te réponds, avec la même fougue. Tu joues avec ma langue et je joue avec ton corps. Ton baiser appelle mes caresses. Ta robe n’est que prétexte à te déshabiller. Je défais, et je ne trouve que le minuscule triangle de dentelle que j’ai caressé tout à l’heure. Suffisant pour décupler mon envie de toi. Tu le sais. Tu le fais exprès. Je remonte ta robe sur tes fesses. J’adore les palper, les caresser, les peloter. Je te bascule, je me soulève, pose mes lèvres sur ...
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