1. Le stage


    Datte: 10/10/2020, Catégories: fh, couple, extracon, nympho, dispute, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, vengeance, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    ... donné l’audace d’exiger. La photo la plus expressive est celle du baiser prise à bout de bras. René me livre une information dont il ne voit pas l’importance.
    
    Mercredi prochain, l’enquête en grande surface, avec observations commentaires et propositions se fera individuellement. Je m’empare du trousseau de clés du bâtiment et de l’appartement strasbourgeois de Sabine et vais immédiatement faire des doubles. Elle ne s’en n’est pas aperçue.
    
    — Tu es vraiment certain que mes seins ne te plairaient pas plus s’ils ressemblaient à ceux de Julie ?
    — Examinons la question de plus près. Penche-toi. Ils sont sensibles. Ne crains-tu pas que l’opération les rende moins réactifs. Tu te tords sous la caresse actuellement. Mais après ? Ne pourrais-tu pas attendre d’avoir allaité pour te comparer à la voisine ? Si tu y tiens, après ton stage je ne ferai pas d’objection.
    
    Je constate que René n’a pas oublié le sujet.
    
    Judith, comme moi, est persuadée que mon mariage est condamné. La série de photos l’a scandalisée. Elles sont dignes d’un site pornographique, mais indignes d’une épouse, compte tenu du lieu et du photographe. Elle a longuement gardé ma main dans les siennes, m’a souhaité bon courage. Elle est à mes côtés, je peux m’adresser à elle en toute confiance. Nous nous sommes enlacés un bon moment. L’accolade a été tendre. Elle prend rendez-vous chez son avocat pour mon divorce.
    
    Je visite le fameux appartement. La chambre de René est impeccable. À voir le lit, il est ...
    ... évident que Sabine n’a pas couché seule, le mobilier est celui des photos obscènes. Cuisine, w.c., salle de bain, une salle qui ne contient que deux chaises et une table. Je m’y installe C’est mercredi, jour d’enquête individuelle : j’ai flairé la ruse. La fenêtre donne sur la rue. À 13 h 45 je vois René sortir d’un bâtiment à gauche. Il arrive, j’entends ses pas : il quitte sa chambre et s’en va. Sabine quitte le même bâtiment, s’arrête près d’une berline, fait un signe et vient vers ici. Un chauve rondouillard s’extrait de la voiture et lui emboîte le pas. Bruits de clés, pas rapides, portes qui s’ouvrent et se ferment.
    
    — Monsieur, vous pouvez entrer, il est parti.
    — Mon petit, appelle-moi Albert quand nous sommes seuls. Mais vous êtes bien installés.
    — Prenez place, je fais un tour dans la salle de bain. En attendant, mettez-vous à l’aise.
    — Oh ! Que tu es merveilleuse, ma petite Sabine. Viens vite.
    
    J’entends des bribes de déclaration enflammée. Des silences. Sabine a droit au célèbre couplet du mari qui ne s’entend plus avec sa femme.
    
    Avec précaution, je sors de ma cachette et m’approche de la chambre occupée par le couple.
    
    — Albert est paresseux ? Albert est fatigué ?
    — Albert est ému. C’est la première fois que je suis infidèle ; ça me trouble, mais ça va passer. Tu m’inspires.
    — Albert est dans de bonnes mains. Il prend forme tout doucement. Il aime mes caresses. Albert aime ma langue ? Qu’Albert se rassure, moi aussi c’est la première fois que je trompe mon ...
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