1. Le stage


    Datte: 10/10/2020, Catégories: fh, couple, extracon, nympho, dispute, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, vengeance, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    ... commentaire étonnant de son adjoint :
    
    — Tu vois, je t’ai attrapée. Inutile de courir. Et maintenant qu’est-ce qu’on dit à son chéri ?
    — Qu’il n’est pas raisonnable. On ne devrait pas.
    — Mais c’est si bon. Tu m’affoles, j’ai envie de toi
    — Pense à ta femme et à ton enfant, là dans la maison voisine.
    
    Je tendais l’oreille. C’était ça le travail qui réclamait un investissement de toutes leurs facultés ?
    
    — Tu y as pensé le jour où tu m’as séduit ? Tu t’es jetée sur moi, tu m’as embrassé. Par respect pour ton mari, j’ai essayé de me dérober. Et tu m’as convaincu : du moment que notre relation restait secrète, elle ne faisait de tort à personne. Elle est secrète, pourquoi se priver ?
    — Oui, mais je ne veux pas que tu te mettes à m’aimer. D’accord pour quelques jeux, cependant je vois que tu y mêles des sentiments. Je suis mariée, je tiens à mon mari. Le mariage c’est une chose sérieuse.
    
    On s’est fait du bien. Je ne regrette rien. Il faut savoir s’arrêter.
    
    — Alors, je veux bien te lâcher. Ce sera la dernière fois. Je voudrais garder de toi un souvenir unique, pour me consoler. Je souhaite te voir enfin entièrement nue. Jamais nous n’avons fait l’amour tout nus. S’il te plaît. Viens, je te déshabille et tu me rendras le même service. Peau à peau, ce sera fabuleux.
    — Va pour ça, mais jure-moi que tu n’y reviendras plus.
    
    J’entends des froissements d’étoffes, des rires chatouillés, les pas de pieds nus. Elle glousse, il la complimente. Ses trente ans sont ...
    ... magnifiques !
    
    — Allonge-toi sur le canapé, laisse pendre ta jambe gauche. J’adore l’odeur de ton sexe. Tu sais lui donner une touche de parfum qui ne chasse pas la senteur naturelle. Et ce rose humide quand j’écarte tes lèvres, et cette saveur unique sur la pointe de ma langue, ça me rend dingue.
    — Oh ! Oui, suce doucement le bourgeon, sois doux.
    — Comme ça ?
    — Oui, mets un doigt, bouge-le à l’entrée, j’adore…
    
    Je m’y croirais. Elle me dit souvent la même chose. Dans mon bureau, je saisis mon appareil-photo numérique, je neutralise le flash et je gravis l’escalier, me poste derrière la porte du salon et assiste à la première charge. Quand Sabine se donne en amour, elle fait comme au travail.
    
    Elle est sur le dos, le pied gauche en appui sur le canapé, le droit planté au sol. Son bassin se tend, repousse le pubis qui se colle au sien. René a pris une cadence lente, il veut faire durer afin de laisser à Sabine le temps de monter en température. Entre l’huisserie et la porte, je prends une première photo : les deux corps accouplés en entier et le visage rougi de ma femme. Le bruit de leurs souffles couvre le déclic. Il s’est arrêté, tétanisé ; mais son sperme ne doit pas avoir la valeur nutritive du mien, elle l’a laissé se vider contre sa matrice, elle a crié de plaisir mais n’a pas voulu se couvrir le visage de son liquide. Ils récupèrent.
    
    — J’aimerais te prendre en levrette. La vue de ta croupe épanouie me trouble toujours, et nue c‘est sublime.
    
    René debout caresse au ...
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