1. Le stage


    Datte: 10/10/2020, Catégories: fh, couple, extracon, nympho, dispute, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, vengeance, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    Le hasard avait voulu que vienne s’installer dans le pavillon voisin du nôtre, un jeune couple, Julie et René, dont le mari était le collaborateur récent de mon épouse dans la grande surface de la ville. Sabine, mon épouse avait gravi par promotion interne les échelons de la hiérarchie et devait encadrer la nouvelle recrue issue d’une école de commerce. Ils formaient un binôme apprécié. Il leur arrivait de préparer à domicile, au calme, des campagnes de promotion. Julie élevait Margaux, un bébé de trois mois, avant de reprendre son travail de secrétaire.
    
    J’étais adjoint commercial du directeur d’une concession automobile. Depuis que j’avais épousé Sabine, j’admirais son implication dans les résultats de son entreprise. Jamais elle ne rechignait à donner de son temps ni de son énergie : certains soirs, le repas terminé, elle se couchait comme épuisée et s’endormait aussitôt. Un peu comme quand nous venions de nous aimer longuement. C’était attendrissant. En principe le lendemain elle prenait l’initiative d’une folle session, accordait à mes sens et aux siens des débordements délicieux, toute pudeur écartée.
    
    Ainsi je me réjouissais de ses retards dans l’attente de ces lendemains qui chantaient, où tout était permis : les caresses les plus gentilles et les plus canailles, les baisers en chapelets, des orteils aux lèvres odorantes, de la bouche à l’arrière des oreilles, du nombril au, puis-je préciser, au plissé de la porte arrière. Par-dessus tout, j’aurais sucé pendant ...
    ... des heures le minuscule clitoris, n’était son extrême sensibilité lorsque le travail l’avait retenu.
    
    Elle jouissait des mêmes droits de découverte et pratiquait avec un art consommé les exercices buccaux propres à me conserver longuement en érection. Son plus grand plaisir consistait à étaler mon sperme sur son visage et sur ses seins : c’était meilleur pour la peau que toutes les pommades et onguents. Après une chevauchée sauvage, je devais me retirer pour nourrir l’élasticité de son épiderme, en évitant les yeux. J’aurais préféré parfois m’abandonner dans le vagin, sentir sa réaction à mes contractions. À force d’insistance j’obtenais cette faveur.
    
    Pour satisfaire son ambition, elle avait reporté à plus tard la naissance de notre premier enfant. La vue du bébé de René et Julie m’attendrissait et réveillait mon désir de paternité. Sabine était une épouse très sensuelle, mais, comme beaucoup de femmes, s’était mise à l’abri d’une maternité non désirée grâce à la pose d’un stérilet. Je rongeais mon frein. Un jour viendrait, elle me l’avait promis, où je pourrais comme René me pencher sur un berceau.
    
    Ce jour, vers 10 heures, je fis un saut à mon domicile pour récupérer mon ordinateur portable. La voiture de Sabine était au garage : elle était certainement en réunion avec René. Pendant que je traversais le rez-de-chaussée, j’entendis des pas précipités à l’étage, comme une course. J’ouvris la porte qui donnait sur l’escalier pour entendre le rire joyeux de Sabine et un ...
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