1. Après les "Boums"


    Datte: 09/10/2020, Catégories: ffh, campagne, amour, Oral pénétratio, fdanus, nostalgie, prememois, couple+f, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... que je fais le mieux et que les hommes aiment, c’est la faculté de prendre toute leur verge dans ma gorge. Daniel apprécie ma prestation.
    
    — Oh ! Françoise. Françoise.
    
    Nos regards se croisent, car cela aussi, je sais le faire pour augmenter encore la tension sexuelle. Je vois dans ses yeux la surprise, mais aussi le plaisir de ma caresse. Le Daniel que j’ai connu aurait éjaculé très vite par le traitement que je lui applique. Le Daniel nouveau est bien plus résistant et profite longuement de me voir le pomper.
    
    Agrippée à ses fesses, je suce son mandrin sur toute sa longueur, m’arrêtant toujours lorsque mes lèvres butent sur ses couilles pour pousser ma langue encore plus loin et les lécher. Je n’entends plus que le bruit de ma salive qui « floque » à chaque avancée. Il résiste longtemps. J’imagine qu’il se souvient de ses éjaculations trop rapides et qu’il se fait un point d’honneur à me montrer sa maîtrise.
    
    Mais je le sens faiblir. Sa verge gonfle, sa respiration s’accélère. Pour un peu il me transpercerait la gorge tellement il avance pour mieux que je le pompe et l’aspire, des couilles au gland.
    
    — Françoise. Attention, attention, je viens.
    
    Oh, ce cher Daniel. Toujours aussi prévenant, aussi délicat. D’aucun ne se serait pas gêné pour ne rien dire et éjaculer par surprise dans la bouche accueillante. Pas lui. Non. Mais je reste. Je le garde bien en bouche. Savourant encore une fois le travail bien fait. Je vais lui faire aussi ce que tous les hommes ...
    ... aiment et fantasment. Juter dans la gorge de leur maîtresse. Sentir leur sperme monter et gicler bien au chaud, venant se mélanger à la salive abondante et montrer ainsi la puissance de leur éjaculation.
    
    Mieux. Mieux encore ! Sa liqueur je la garde et enveloppe sa queue avec, la gardant jusqu’à ce que le mandrin dur se transforme en tige plus souple qui cherche à glisser au dehors.
    
    Alors, alors qu’il me regarde et que nos regards se croisent à nouveau, je déglutis et avale son sperme. Je le fais délicatement, pas comme quelquefois alors que l’amant s’y prête, avec ostentation et lubricité.
    
    C’est moi qui rentre son sexe dans le pantalon et ferme le zip. Lorsque je me redresse, il a ce geste si tendre de m’embrasser et de me dire merci. Peu d’hommes sont capables de goûter leur propre liqueur en échangeant un baiser avec la femme qui vient de recevoir leur jus.
    
    — C’est pas le tout, mais il faut que je retourne au garage. Tu viens ? me demande-t-il comme si rien ne s’était passé.
    — Non. Je vais rester un peu et profiter du soleil.
    
    Il part et je décide d’avancer le long du sentier. Une heure, peut-être deux passent. Il fait beau et le lac miroite au soleil. Quelques barques, quelques pécheurs, pas de touristes. Mais le Morvan sait surprendre et alors que je n’ai rien vu venir, une averse orageuse me tombe dessus. Même les arbres majestueux n’arrivent pas à me protéger et lorsque j’atteins ma voiture, c’est une souillon dégoulinante qui y pénètre. Je suis trempée ...
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