1. En route pour l'Ermitage


    Datte: 20/01/2018, Catégories: fh, essayage, amour, volupté, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pénétratio, fsodo, sm, fouetfesse, Auteur: Ugluk, Source: Revebebe

    ... pour s’intéresser à nous…
    
    Il ne me laisse pas répondre et me bâillonne de sa bouche. Ses paumes profitent de l’absence de mon soutien-gorge pour jouer avec mes seins à travers le tissu moulant de la robe. Je m’embrase tel un fétu de paille sous ses caresses. La langue de Julien fouille ma bouche, se frotte contre la mienne, me goûte, se dégage pour s’occuper de mes lèvres puis replonge comme s’il voulait s’enivrer de ma salive. Ses mains abandonnent mes seins et descendent jusque sur mes cuisses. La chaleur de ses paumes traverse le tissu et m’électrise au fur et à mesure de leur progression. Elles arrivent maintenant en haut de mes jambes, à l’intérieur, là où la peau est si douce. Elles y restent quelques instants, puis remontent encore pour atteindre mon slip. Les doigts agiles libèrent mon intimité, s’infiltrent dans mon sillon.
    
    — Arrête, tu vas trop loin ! fais-je, peu convaincante.
    — Trop tard ! Nous avons déjà franchi le point de non retour et tu le sais…
    
    Sa réponse me fait peur. Je prends maintenant conscience qu’il ne veut pas se contenter d’un simple flirt agrémenté d’attouchements. Brusquement, j’ai envie de protester, de résister à cet assaut mais je n’en ai pas la force. Et puis, comme pour me disculper, je me dis que je n’aboutirais qu’à attirer l’attention des autres clients. L’angoisse, trop faible par rapport à mon désir, persiste malgré tout. Mais en fait je me demande si cette peur ne contribue pas à attiser encore plus le feu sexuel qui ...
    ... embrase mon ventre.
    
    On risque de nous surprendre à tout moment et des gens se changent dans les cabines attenantes. Julien est complètement dingue, pourtant je suis incapable de le retenir. Pire, je crois que j’ai autant envie que lui de continuer. Un doigt cherche l’entrée de mon fourreau, le trouve rapidement et s’y insinue pour prodiguer des caresses expertes à l’intérieur même de mon sexe suintant d’impatience. Je retiens un gémissement. Le plaisir me submerge et s’empare de ma volonté déjà fortement ébranlée. J’écarte d’avantage les jambes, pose un pied sur le petit tabouret de la cabine et entreprends de libérer moi même le phallus durci de Julien. Pour ce faire, je suis obligé de baisser son pantalon car le pieu est si rigide que je ne parviens pas à le faire passer par l’ouverture de la braguette. Je fais glisser la peau sensible pour dégager complètement le gland lisse et rose comme une friandise. Mes doigts ne peuvent se retenir de le toucher et de constater son extrême douceur. Julien ne tient plus, m’embrasse et s’active frénétiquement dans ma vulve. Brusquement, il se dégage, m’accule contre le fond de la cabine et dirige son sexe au milieu de mes grandes lèvres. D’un coup sec, il me pénètre, atteignant le fond de mon intimité. Un spasme de bonheur me secoue. Je ne peux retenir un soupir de joie. Julien reste immobile, planté en moi, comme pétrifié par le bonheur de sentir mes chairs intimes happer sa virilité. Je mordille son oreille et lui murmure :
    
    — Viens, ...
«12...456...16»