1. Un coin de trottoir


    Datte: 05/10/2020, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... risque d'être reconnue bien qu'attifée de façon singulière et ostensiblement fardée. J’espérais un temps qu'il montât avec une belle africaine avec laquelle il discutait et qu'il connaissait manifestement. Puis son regard se posa sur moi. Je fis en sorte de regarder ailleurs et de l'ignorer.
    
    Hélas il fut bientôt sur moi. Il était de petite taille bien que de traits mignons et agréables. Je fus tentée un instant de le rembarrer. Je lui eus dis : « Retourne dans les jupes de ta mère ! » Celle-ci en effet se désespérait que son rejeton n'ait pas de petite amie. Elle eût bien étonné de savoir qu'il fréquentait les putes. Heureusement je sus conserver mon sang froid. Sans ambages il m'avoua que son amie africaine m'avait poussé vers lui. Il ne m'avait jamais vu. Il me demanda si j'étais nouvelle. Ce con ne m'avait guère identifié. Mon déguisement avait réussi.
    
    Ce petit effronté affectait un ton de vieux cochon que je trouvais ridicule. J'haussais à dessein les prix escomptant que mon style vieille peau et un rapport qualité/prix rédhibitoire le décourageassent. Il me sortit devant tous crânement ses billets. Le roquet voulait la totale. Penaude je dus emprunter l’escalier roulant moins du cul que d'habitude. Il ne m'en caressa pas moins ma croupe. Je fus tentée de le gifler songeant à sa mère et que je le reverrais un jour dans le contexte du bureau. A cet égard j'obtins que nous forniquions dans une lumière tamisée.
    
    Il était hors de question qu'il se familiarisât avec ...
    ... mon visage. De toute façon seul le reste de mon corps l'intéressait. Enfoncée entre ces cuisses je le suçais de façon forcenée. Il apprécia. Notre rapport dura trop longtemps à mon goût. Je dus convenir qu'il se débrouillait. Je ne savais où il avait obtenu tant de dextérité pour son âge. J'eus pu rassurer sa mère. Son moutard n'était pas godiche au lit. Sur la fin, il m'enculât avec force virilité. Je jouis pour le coup. Il put prendre cela pour simulation. Je savourais déjà le moment où dans le bureau il me saluerait sans me reconnaître.
    
    Il y eût encore une fois où un familier me baisât dans les mêmes circonstances. Ce fut mon pharmacien lequel ne me reconnut pas aussi. Décidément une parure de prostituée vous change. Je rapportais ces deux anecdotes qui s'en enchantât. Il trouvait bon de jouer ce tour à tout ce monde dont mon mari . Cependant je dus déchanter moi-même car un jour sourire en coin, il m'avoua que depuis quelques semaines mon mari savait. Une des filles avaient éventé la mèche. C'était inéluctable. Ce genre de secret ne peut être gardée. Manifestement mon mari m'avait espionné.
    
    Il ne s'en ouvrit pourtant jamais à moi m’accablant de reproches. Certes il y eût une franche conversation entre lui et Chang mais il avoua à celui-ci que cela l'amusait au bout du compte et qu'il s'était résigné à ce risque depuis longtemps. Il me savait trop fasciné par les prestiges de la rue. Il était couru que j'essayerais un jour. Chang lui assura que je n'encourrais aucun ...