1. Un coin de trottoir


    Datte: 05/10/2020, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... surveillait. Je devais tenir une heure et si cela me plaisait j'avais droit à dépasser. Pour l’occasion j'adoptais la même mini-jupe qui m’avait procuré cette chance. Mes hauts talons étaient vertigineux et accentuaient davantage ma cambrure et le dessin de mon cul. Sur le maquillage, je l'outrais afin que nul n'eût pu me reconnaître cette nuit-là. J’avais raconté à mon mari que j'étais à l'anniversaire d'une copine.
    
    N'empêche tel un artiste qui aborde la première fois la scène et scrute en vain l'obscurité de la salle emplie de spectateurs, je posais mon premier pied sur le bout de ce trottoir. J'eus le signe d'encouragement de deux, trois partenaires. Elles auraient pu me snober et manifester même de l'hostilité. Ce témoignage de sympathie me dénoua et fit partir peu à peu ma grosse boule d'angoisse d'autant que vite un petit vieux me demanda le prix. En d'autre temps j'eus éconduit le nabot .Là investie d'une mission et sous le regard des autres, je fis bonne mine l'intimant à me suivre.
    
    Dans l'escalier machinalement vins-je à rouler du cul. Je trouvais trop mignon que le petit cochon porta une main vicieuse à ma croupe. Je décidais qu'il en aurait pour son argent. Finalement il accepta d'obtenir tout le menu entier. J'eus mon cul défoncé. J'y découvris une étrange jouissance. L'endroit était sordide. On m'avait acheté. On avait accrédité à mon corps et mes gestes une valeur réelle. J'étais enfin reconnue comme une pute. Le sperme du vieux sur mon visage me parut ...
    ... une onction. J'eus de surcroît un pourboire de dix euros. Je triomphais.
    
    Ce soir-là en l'espace de deux heures, dix types me sautèrent. J'étais consciente de mon succès. Une fille avait qui je bus un coup au bistrot à côté tempéra mon enthousiasme. J'étais nouvelle. Cela me conférait du prestige. Qui plus est mon genre bourgeoise mûre manifestement excitait les plus vicieux. Chang avait vu juste. Je tapais dans la catégorie idéale. Il avait convenu que mes gains se partageraient à valeur virile avec lui ce qui était un privilège étranger aux mœurs ordinaires de la profession. Chang obtint ainsi de me sauter à sa convenance.
    
    Je me procurais ce vertige une fois tous les quinze jours. Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Je n'en vins pas moins à me faire des familiers. Notamment un petit chauve, notaire de son état. Il ne m'en proposa pas moins pour une somme substantielle de baiser toute une après-midi dans un bel hôtel parisien. A l’occasion nous faisions monter champagne et petits fours. Il se pourvoyait pour l'effort de Viagra. Je le sermonnais. Il était exclu qu'il me claquât entre les cuisses. Nous en rions. Il savait que j'étais femme mariée et pute à l’occasion. Cela l’excitait.
    
    Je n'en eus pas moins une frayeur au bout d'un mois. Ce que j'appréhendais survint. En effet en milieu de nuit je vis déboucher à l'angle de la rue, un jeune homme que je reconnus comme le fils d'une collègue et amie. Il venait des fois nous rendre visite au bureau. J'encourrais le ...