1. Un coin de trottoir


    Datte: 05/10/2020, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    Des familiers de Paris reconnaîtront cette rue où baguenaudent les filles sans joie exposées aux touristes veules et aux adolescents attardés. Nous habitions mon mari et moi à quelques encablures. Nous ne dédaignions pas d'y passer quelque fois par jeu et dérision. J'avais soupçon que mon bonhomme eût lâché par là-bas quelques billets. En effet je surpris plus d’une fois des regards, des sourires et quelques interjections qui établissaient une complicité entre lui et de ces créatures. Il niait à chaque fois. Nous étions un couple libre. Le cul ne nous effarouchait pas.
    
    Dans le même quartier nous allions certains soirs chez l'ami Chang. Un grossiste chinois chez qui mon mari aimait à taper le carton, un de ses nombreux vices. Une rumeur courait que ledit Chang disposait de deux, trois filles qui tapinaient là-bas. Mon mari obtint un jour l'aveu de l'intéressé. L'alcool aidant leurs langues se délièrent. Ce conte me parut vraisemblable. L'étonnant fut que cette face de citron que j’avais jusqu'alors méprisé s'en trouva auréolé du coup de ce nouveau prestige. Il m'avait maintes fois dragué et j'avais remis à sa place l'avorton. Il savait que je couchais facile.
    
    Nous eûmes à cet égard une franche conversation. C'est moi qui l'amena sur le terrain de cette activité illicite. Loin de s'offusquer que mon mari m'en eût fait part, il s'en amusa d'autant qu'il décela de suite chez moi un intérêt profond et malsain pour la chose. Il me demanda si j'adorais certains soirs me ...
    ... balader là-bas au bras du mari. Je crus devoir lui confirmer que cet univers en effet me fascinait. Ces mâles en rut autour de filles mi-nues et harnachées m'arrachaient des fois comme des frissons. Je convins que j'enviais pas mal ces créatures.
    
    Chang m'adressa un regard noir et profond dénué de toute ironie et empathie. On eût dit qu'il m'auscultait, me sondait le fond de mon âme. J'eus un moment de désarroi de m'être livrée et mise à nue. Un sourire ambigu heureusement revint sur son visage. Il me rassura. Maintes femmes partageaient le même goût que moi. Outre de se déguiser en putain dans la couche du conjoint, elle rêvait tout simplement à sauter le pas et à se prostituer un jour. Il me confia qu'il avait permis à deux, trois femmes mariées de s'essayer à ce jeu.
    
    Cette confidence me laissa rêveuse. A l’époque j'avais commencé avec mon mari d'écumer certaines broîtes libertines. Les partouzes cependant commençaient à m'ennuyer. Je décidais que la prochaine étape ne pouvait être que ce dont m’avait entretenu Chang. Dans un premier temps un scrupule me retint. Je trouvais trop ridicule ce fantasme. Enfin qui voudrait d’une quinqua même si mon corps pouvait encore en remontrer à pas mal de minettes. J'eus la faiblesse de m'en ouvrir encore à Chang. Je lui demandais si j’avais chance d'attirer le chaland. Il rit de bon cœur.
    
    Je crus qu'il se moquait. Il me démentit. Il me trouvait plus que baisable. Il me fit convenir qu'il m'avait mainte fois dragué et que je l'avais ...
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