La vieille fille
Datte: 04/10/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... anesthésié par l'horreur de ma situation. Je suis couverte d'un corps lourd pesant de tout son poids et empêchant le moindre geste de ma part. Mes cuisses sont ouvertes, livrant le passage vers mon sexe et je sens ce pieu de chair frotter contre lui. Je suis en panique totale, mon corps ne m'appartient plus, je ne suis plus dans mon lit mais dans un lieu de torture où je suis livrée à un inconnu qui se joue de moi. Vous avez pris mes seins entre vos mains, vous les malaxés durement tout en me parlant avec douceur, ce contraste est troublant, il m'attire des sanglots qui naissent dans ma gorge et meurent sur le bord de mes lèvres. Je sens votre gland qui cherche de plus en plus furieusement le passage vers mon vagin, mes lèvres intimes sont sur le point de céder, je pleure, mes larmes coulent sur mes joues, je suis vaincue et vous le fait savoir. Oh! non! je vous en prie! Pitié!
Mes mains pétrissent toujours votre poitrine, saisissant les tétons entre pouce et index, les étirant, en continuant de vous susurrer les mêmes mots... "Venez...venez... vous avez de beaux SEINS... ils me plaisent... vous êtes une femme.... vous êtes faite pour cela... sentez comme votre FENTE est faite pour m'accueillir"
Mon gland pèse de plus en plus lourdement sur votre vulve étroite, forçant les pétales à s"ouvrir, touchant cette chair qui m'apparait douce comme la soie...
Petits coups de reins qui provoquent sanglots et refus, votre corps qui se révulse, et l'hymen que je sens me barrer ...
... le passage...
Mes mains se glissent sous vos fesses et je reste à l'entrée du vagin, faisant de petits va et vient, frottant le clitoris, puis revenant buter sur la membrane.
Parfois, vous sursautez et criez, me délogeant de votre intimité, mais je me remet facilement en place, et vous sentez pratiquement en permanence le contact du gland gonflé et dur sur votre corolle.
Il me devient de plus en plus difficile d'attendre, d'entrer dans ce corps gémissant et tordu entre mes bras, d'une sorte de désespoir.
Vos plaintes sont pour moi une musique qui ne fait que renforcer mon désir...
N'y tenant plus enfin, un coups de reins sec et rapide "HAANNNNNNNNNNNNNNNN" je sens la déchirure de cette membrane sous la poussée de ma tige, et aussitôt , le Priape glisse en vous de quelques centimètres... cela me parait doux et serré à la fois, contracté....
Votre hurlement qui retenti et résonne dans la petite chambre confirme que la pénétration a commence, que cela en est fait de votre virginité, que vous avez écarté les cuisses pour un mâle, que son dard a violé l'entrée de votre antre le plus secret, que vous vous faites prendre, pénétrer... le coït, prise, viol, pénétration, sexe... tous ces mots qui ne faisaient pas partie de votre univers envahissent votre conscience.
Oh! non! Oh! non! Ce sexe qui se fait de plus en plus pressant! S'il vous plait, arrêtez! Oh! pourquoi ne vous arrêtez vous pas? Je suis si faible, je suis si femme, vous devriez avoir pitié de moi. Je ...