1. La vieille fille


    Datte: 04/10/2020, Catégories: Première fois Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... une quelconque satisfaction. Soudain il me prend aux épaules, il me tourne vers lui sur le flanc, je sens son membre toucher mon pubis et une terreur profonde me saisit. "Nicolas, Nicolas! Arrêtez! Je ne suis pas prête, je ne veux pas, pas maintenant, pas comme ça! Je prends ses poignets que je serre convulsivement pour empêcher qu'il ne me touche. Mais l'homme est fort, il me repousse sur le dos au milieu de mes sanglots il murmure à mon oreille des mots apaisants qui n'atteignent pas mon cerveau, sa voix n'est qu'un son étouffé lorsque sa cuisse toujours entre les miennes m'écarte un peu plus. Il me repousse, je retombe sur le dos, je sens son corps glisser sur le mien, oh! Comme il est lourd, comme il pèse, paralysant mes gestes de défense. Son sexe frotte le mien, une panique noire me saisit, je grogne comme une bête blessée, harcelée par les chiens. "Ne faites pas ça! Non, pas maintenant! Pas la! Je ne suis pas prête, jamais je ne pourrais... Je panique en sentant son sexe qui me parait énorme, je me dis que jamais il ne rentrera, qu'il va me déchirer le ventre, il va me faire mal! Mon Dieu! Que suis je en train de faire? Ma cupidité m'a perdue! Comment expliquer tout ça à ceux qui me connaissent, comment justifier une grossesse! Ooooh nooon!
    
    Positionné entre vos cuisses, j'entends avec une sorte de plaisir sadique (Instinct que je découvre en moi) vos plaintes douloureuses et les mots de refus alliés à mon prénom: j'ai l'impression d'être transporté dans un autre ...
    ... monde, une autre période, où les femmes ne pouvaient être possédées que forcées, et n'éprouvaient pas de plaisir, ou alors un plaisir douloureux moralement et combattu dont elles avaient honte: le sexe était alors une arme de contrôle absolu (voire de torture morale) pour le mari, non seulement sur le corps, mais aussi sur l'esprit, l'âme de son épouse: j'ai l'impression d'être un de ses maris là... C'est donc avec un plaisir pervers que je fais durer la situation, promenant mon gland gonflé et dur sur la soie de la fente étroite, savourant non seulement ce contact doux et froid contre le sexe féminin fermé, mais aussi vos plaintes et vos mots qui veulent me dissuader, faire machine arrière en quelque sorte. Mais pour l'instant, j'en reste à un contact très superficiel, et je laisse mon gland bien appuyé sur la petite chatte défendue.... Prolongeant ce contact, mes mains sont revenues sur vos seins, les possèdent à pleines paumes, les malaxes, comme pour faire écho à vos plaintes, et vous signifier que vous êtes à présent mon instrument de plaisir. En me livrant à ces actes odieux, je vous murmure à l'oreille des mots avec une douceur vénéneuse..."Allons calmez vous... Faire l'amour est naturel... sentez comme votre sexe est fait pour le mien... vous êtes une femme... comme une autre...votre corps est fait pour cela...allons..Allons... HHmmmmmmmmm" Non! non! non! C'est le son qui sort de ma gorge à chaque fois que vous murmurez à mon oreille. Mon corps est en bois, comme ...
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