La vieille fille
Datte: 04/10/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... vous en prie, laissez moi!
Lâchez mes seins....s'il vous plait, lâchez les. Ooooh! vos mains si fébriles qui poignassent mes seins à leur faire mal. Oooh, vos doigts qui étirent mes tétons, ooh! quelle indécence! Et vos lèvres qui sussurent à mes oreilles mille horreurs, des paroles de fiel qui se mêlent à ses coups de reins insidieux qui font progresser votre gland jusqu'à faire céder mes lèvres intimes et ouvrir la voix à votre sexe.
Noooooon! vous venez de butter sur mon...oh! mon hymen.
Noooooon! retirez vous, retirez vous! Ne faites pas ça! Laissez moi je vous en supplie!!
Je balbutie encore des mots de supplication au milieu d'un fouillis de sentiments qui se mêlent à la panique. Mes muscles vaginaux se contractent à me faire mal, je vous repousse de toute mes forces avant de sentir ce puissant coup de reins, subit, brutal, et volontairement violent qui me cloue au lit.
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahh! Un cri rauque de bête blessée a jailli de ma gorge. Un cri primal, qui n'a rien d'humain, un cri de désespoir aussi. Mon corps est un long frisson, je sens une brulure entre mes cuisses.
Le cri a résonné à travers la pièce et à sans doute franchi les murs. Un cri que jamais cette chambre n'avait entendu avant cet instant.
Mon cerveau s'affole, il passe par mille sentiments contradictoires, une voix me dit "Tu es femme maintenant!" suivie d'un ricanement pervers. "Te voila prise ma fille! à la merci du mâle qui te chevauche!"
Oh! mon dieu! ce sexe qui ...
... coulisse dans mon ventre à la recherche de plus en plus de profondeur! Aaaaah! je gémis d'une réelle douleur, la brulure ne faiblit pas et le sexe tendu qui étire mes chairs n'arrange rien. Je crie, je pleure à la fois de douleur et de rage d'être ainsi épinglée telle un papillon par le membre qui me pénètre encore et encore plus loin et jusqu'à atteindre mon utérus. Je m'étonne de n'être pas déchirée, mes chairs sont elles aussi élastiques?
Je suis pleine d'une chair étrangère, un être vivant qui vit en mon ventre, qui me fouille et qui m'explore sans que je puisse l'en empêcher.
J'ai honte, honte de m'être laissée aller, de m'être laissé manipuler et emporter par la cupidité.
"Ma fille, tu vas devoir payer la note" Me dit le petite voix au fond de ma conscience.
Vos mains posées sur mon torse me repoussaient, les ongles sortis, comme pour me faire mal; la sensation de mon gland à l'entrée de la vulve, butant sur l'hymen; vos soubresauts et les sanglots, les mots de refus, les supplications qui déferlaient... Tout cela m'a plu, sans que j'analyse vraiment le plaisir que je ressens à ce qu'il faut bien appeler maintenant un viol... car vous ne voulez plus, même si c'est bien vous qui m'avez invité dans votre chambre, dans votre lit même.
A vrai dire, je m'attendais à cette réaction, et cela sans doute inconsciemment depuis notre premier contact téléphonique... et c'est sans doute ce qui m'a poussé à poursuivre, malgré l'étrangeté de votre attitude: oui, cet ...