La vieille fille
Datte: 04/10/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... gémissement tandis que ses doigts caressent ce petit doigt de chair que je sens se dresser. Contre ma cuisse je sens son sexe qui durcit, une chair vivante et palpitante qui semble prendre de plus en plus d'ampleur. Oh! Il me parait si gros, comment cela pourra t il se faire? Il ne va pas entrer, cela va me faire très mal, non, je ne peux pas, je ne peux pas, ce sera trop dur, je ne pourrai pas! Cependant ses doigts dans mon vagin font de lents va et vient, pas si désagréables, comme le plaisir que parfois je me procure quand trop de tension noue mon corps. Mais je ne le fais que rarement et avec une grande honte résiduelle qui me poursuit pendant des jours. Aaaah! J'ai poussé ce cri presque de plaisir. Nicolas!
Mon doigt va et vient en vous, vous ouvrant de plus en plus profondément; il revient de temps en temps sur votre clitoris que je sens dressé et durci, dans une réaction organique de votre corps... En effet, les "nooonnnn, pas çà... je vous en prie..pas ainsi" se répètent comme une psalmodie à travers vos sanglots... peut être parce que les choses ne se passent pas comme vous l'espériez... Vous pensiez un acte simple, presque clinique, permettant votre fécondation, et voilà que mes attouchements vous mettent dans cet état où vous vous trouvez, lorsque seule vous succombiez à des caresses solitaires vous plongeant dans la honte, de même que les réactions de votre corps vous mortifiaient. Je sens à présent une humidité qui permet à mon doigt d'aller et venir plus ...
... facilement... votre corps se tord, révulsé, comme à la recherche d'une libération physique, votre visage grimace, alors que les refus continuent de ponctuer chacune de mes caresses... Mon sexe a encore gonfle et durci, et je le frotte doucement contre votre cuisse. Je finis par retirer mon doigt du vagin, et vous sentez que je change de position, m'allongeant sur le flanc, et vous mettant vous aussi, face à moi, sur votre côté... Toujours positionné entre vos cuisses, ma tige a touché votre pubis. Vos mains me saisissent alors par les poignets... vous me regardez dans les yeux, suppliante, pathétique: "Nicolas, non, je ne veux plus, pas maintenant, pas ainsi, je ne pourrai pas, j'en mourrai...Nooonnnn, je vous en prie...."
Oh! Ce doigt qui me fouille de façon si intime affole mes sens, il éveille un mélange de jouissance mais aussi de honte. Mon éducation chez les sœurs m'interdisait toute sorte d'attouchement et je ne l'ai fait qu'après des résistances sans fin, des tortures au fond de mon lit, des nuits passées à me tourner et me retourner serrant mes cuisses de toutes mes forces. Parfois, vaincue, je laissais mes doigts errer sur mon pubis, l'accompagnant de plaintes douloureuses jusqu'à une jouissance étriquée et honteuse qui me laissait frustrée et mortifiée, courant à l'église pour confesser ma faute. Dans quel piège me suis je jeté? Dans les bras de cet inconnu qui excite ma fente malgré moi. Son doigt va plus vite en moi, je serre les dents pour ne pas laisser entendre ...