1. Hold me, never let me go


    Datte: 03/10/2020, Catégories: fh, hh, hbi, jeunes, inconnu, boitenuit, amour, jalousie, Oral Auteur: Skyways, Source: Revebebe

    Cela aurait dû être une journée comme les autres. Daniel avait une séance photo et ne devait rentrer que très tard dans l’après-midi. Quant à moi, mon patron m’avait laissé la journée libre juste après midi, le restaurant se vidant de plus en plus. Heureux d’être rentré plus tôt, je m’étais précipité vers mon appartement - notre appartement en réalité - bien décidé à préparer le repas de ce soir, histoire de faire plaisir à Daniel.
    
    Je m’affairais dans la cuisine, à la recherche de quelque chose de potable, lorsque j’entendis un cri.
    
    Un cri aigu, féminin.
    
    Mon cœur s’arrêta de battre. C’était un cri de plaisir. Venant de la chambre.
    
    Comme au ralenti, je me dirigeai vers le couloir, les cris s’amplifiant petit à petit. La porte était entrouverte.
    
    Ma bouche s’ouvrit d’effroi mais aucun son n’en sortit.
    
    Là, sur le lit - notre lit - une femme, les jambes écartées d’une manière obscène, agrippait les cheveux de son amant, occupé à lui lécher le bas-ventre.
    
    Ce n’était pas que son amant, c’était mon Daniel.
    
    Et je voyais tout. La manière dont sa langue venait frotter contre son sexe humide, ses lèvres brillantes de jus, lui taquinant le clitoris. Son pénis érigé qui venait se frotter contre les draps, ses longs doigts d’artiste qui s’accrochaient aux cuisses tremblantes de la femme. Elle haletait de plus en plus.
    
    Le pire dans tout cela était que je ne la comprenais que trop bien. Daniel avait toujours été doué avec sa bouche. Il disait que je l’avais ...
    ... bien entraîné. Il disait…
    
    J’aurais dû partir mais une force inconnue me poussait à rester. Rougissant de honte, je dus admettre qu’une partie infime de moi voulait voir jusqu’où ils iraient. Si Daniel allait prendre son pied comme il le prenait avec moi. Ce n’était pas moi en face de cette porte, cela ne pouvait être moi. Le vrai moi aurait dû défoncer la porte, arracher les cheveux de cette fille et jeter Daniel à la porte.
    
    Alors, pourquoi regardais-je Daniel remonter le long du corps fuselé de la fille, prendre ses seins à pleines mains, les presser l’un contre l’autre ? Je ne réagis même pas lorsqu’il enfila un préservatif. Le voir rouler le long de son pénis était très familier pour moi. Trop familier.
    
    Horrifié, je sentis ma verge gonfler dans mon pantalon, se frotter désagréablement contre mon jean. Ma main gauche vint se coller à mon érection, exerçant une pression exquise, tandis que ma main droite se plaqua contre ma bouche, m’évitant ainsi de produire le moindre son, le moindre cri, le moindre sanglot. Du bout des doigts, je pouvais sentir la chaleur irradier de mon visage.
    
    Il la pénétra durement. Il ne prit même pas la peine de la laisser s’ajuster comme il le faisait avec moi. Avec un plaisir pervers, je me rendis compte que pas une fois, il ne l’avait embrassée. Il ne semblait pas se soucier de son plaisir, ses coups de butoir étaient vigoureux, rapides. La fille semblait aimer ça, néanmoins. Elle gémissait, proférait des obscénités à l’oreille de ...
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