54.4 Putain, qu'est-ce que c'est bon...
Datte: 02/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... t’as pas fini de la sentir passer cet aprèm… ».
« T’es en forme, toi… ».
« Je te l’avais dit que t’allais boire un truc… ».
« T’es qu’un petit con » je lui balance en rigolant.
« Mais moi j’ai rien bu et là je prendrais bien une bière… » il enchaîne en sortant son paquet de cigarettes.
« Je vais t’en chercher une… ».
Je le regarde sortir une clope tout en se dirigeant vers le couloir.
« Je vais fumer en haut » je l’entends me lancer.
J’ai tout juste le temps de lui balancer un « Ok » à ce qui était moins une demande qu’une affirmation, que déjà j’entends ses pas dans l’escalier. Le bogoss est à l’aise, comme s’il était chez lui ; il se dirige vers ma chambre, vers « sa » fenêtre. J’adore son aisance, j’adore le voir prendre ses marques, des petites « habitudes » chez moi.
Le savoir dans ma chambre alors que je suis en bas en train de lui ouvrir une bière me file des frissons intenses, me remplit le ventre de papillons.
Soudainement, une image se présente dans ma tête, puissante, aveuglante, étourdissante : Jérém et moi, notre appart, quelque part dans Toulouse, notre vie ensemble. J’en ai le vertige tellement cette image ressemble au bonheur avec un grand B. De la science-fiction…
J’ai soudainement le visage en feu, la respiration presque coupée… je pose les deux bières chacune sur une joue pour m’arracher à ma rêverie. Je monte les escaliers à mon tour, je vais rejoindre mon bel étalon.
Je rentre dans la chambre, il est en train de fumer ...
... sa cigarette à la fenêtre, caché derrière le rideau. Ah, putain, qu’est-ce qu’il est beau !
Je pose les bières sur mon bureau et je m’approche de lui, comme la veille ; je passe ses bras autour de ses hanches, je caresse ses abdos, je remonte vers pecs : bonheur du toucher. Je pose mon nez et mes lèvres sur sa peau, je pose des bisous tout au long de son nouveau tatouage : bonheur de l’odorat et du goût.
« Il te plaît, alors, mon nouveau tatouage… ».
« Ah, oui, il est sexy à mort… ».
« Content que tu trouves sexy… mon tatouage… » fait-il avec une note de déception dans la voix, qu’elle soit jouée ou réelle.
« Si je le trouve si sexy, c’est parce que toi t’es sexy à mort… » je précise, dans le doute.
« J’étais sûr que tu kifferais… » il fait déjà diversion.
« Bien sûr que je le kiffe… et toi je te kiffe grave ! ».
Et déjà mes mains n’en font qu’à leur envie, l’une caresse ses tétons, l’autre tâte sa queue par-dessus le short.
« T’en as jamais assez, toi… » il me balance.
« J’adore ces épaules de mec » je détaille, tout en tâtant et en embrassant au même temps que je les nomme « ce cou, ce torse, tu es juste beau comme un Dieu… ».
Sous mes caresses, mes baisers, je sens l’excitation monter à nouveau dans son corps de jeune mâle.
« Rien qu’au contact de ta peau, je ressens des décharges électriques dans tout le corps… » je continue, ivre de cette accolade qu’il semble apprécier « alors oui, j’ai envie de te faire jouir comme un malade… mas j’ai ...