1. 54.4 Putain, qu'est-ce que c'est bon...


    Datte: 02/10/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... raide et chaud qui n’attend que ça, être saisi ; sensation magique, ma main remplie de cette queue dont je reconnais chaque relief, chaque veine, ce sexe qui est mélange magique de douceur et de puissance.
    
    Je saisis, j’empoigne, je branle. Je me redresse un peu, je l’embrasse dans le creux de l’épaule, je remonte le long de son cou, suivant le développement de son nouveau tatouage, sexy à mort ; j’arrive à son oreille, je la titille du bout de la langue, je la mordille ; nos torses se rencontrent, se frôlent, se caressent, s’excitent.
    
    Mon t-shirt est une entrave qui n’a pas de raison d’être ; d’autant plus que c’est le bogoss à « affirmer » cela : il le fait sans un mot, mais en attrapant mon t-shirt par le bas avec un geste rapide et très assuré ; c’est sans mots, mais avec ce geste d’une extrême clarté, qu’il m’invite à m’en débarrasser ; et la raison c’est qu’il veut sentir ma peau contre la sienne… j’ai envie de pleurer tellement je me sens bien, tellement sa fougue met du baume à mon cœur ; alors je m’en débarrasse, et très vite, même si cela signifie couper le contact avec son torse, son cou, sa queue, pendant quelques fractions de seconde.
    
    Mon t-shirt a volé, je ne sais pas où… je reviens contre lui, torse contre torse, ma bouche se perd dans ce Paradis fait de courbes parfaites entre son épaule et son oreille, elle s’égare quelque part le long de ce tatouage de fou ; mes mains, en revanche, ne sont pas perdues pour un sou, elles savent très bien revenir dans ...
    ... son boxer pour trouver leur bonheur parfait.
    
    Je crève d’envie de me mettre à genoux et de le prendre en bouche ; pourtant, ce corps à corps est d’une sensualité et d’un érotisme qui dépasse l’entendement ; mes lèvres son insatiables, infatigables, mes mains impatientes ; entre les caresses de mes mains et celles de mes lèvres, le bogoss semble vraiment prendre son plaisir.
    
    De plus en plus excité, le bobrun lève le visage vers le ciel, m’offrant encore plus de latitude pour faire des bisous bien chauds dans son cou, m’offrant la possibilité de titiller et de léchouiller ce petit grain de beauté qui me rend dingue depuis toujours.
    
    J’embrasse, je lèche, je branle, je le sens monter en pression ; j’ai l’impression, étourdissante, qu’il est tout aussi excité que je le suis ; ma bouche, ravie, ne sait plus où donner des lèvres et de la langue ; une fois de plus, je remonte le cou, m’attarde sur sa mâchoire de mec bien dessinée, j’apprécie le contact avec cette barbe brune de quelques jours ; je remonte vers la joue ; et là, dans un coup de folie, ms lèvres finissent par s’approcher dangereusement de ses lèvres, jusqu’à en effleurer la commissure. Jusqu’à flirter avec l’interdit.
    
    La sanction ne se fait pas attendre.
    
    « Vas-y, suce maintenant ! » me balance le bogoss tout en posant lourdement ses mains sur mes deux épaules pour me montrer la seule marche à suivre.
    
    Je résiste à la pression de ses mains, de ses bras ; je mets un bon coup de collier et j’arrive à poser ...
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