Brèves de blog et autres histoires du temps
Datte: 27/09/2020,
Catégories:
lettre,
conte,
fantastiqu,
Auteur: Le Kawjer, Source: Revebebe
... Parc et du bardon.
Célibataire dans une ville ou le sexe est partout (voir mes précédents carnets d’Afrique : la Villa d’Este), j’avais envie d’un peu de présence féminine à la maison. Un soir j’ai pris ma voiture et je suis allé «chasser» dans les rues à putes du boulevard de Marseille et à l’hôtel Ivoire. Je ne savais pas ce que je cherchais exactement, mais j’avais envie de sexe.
A l’hôtel Ivoire, elle est venue vers moi, m’a proposé ses services. Elle m’a tout de suite séduit, petite, pétillante, le visage fin, la peau d’ébène. Elle m’a fait rire, et je l’ai faite monter dans ma voiture. Elle s’appelait Alphonsine. J’aillais partir pour l’emmener chez moi, lorsque je vis l’autre, une grande, un peu maigre, fière. Elle semblait bouder. Je l’ai abordée. Elle a regardé Alphonsine avec mépris en disant «tu as déjà mousso là ?», je lui ai dit que j’avais besoin de deux femmes. Les Africaines ne sont pas compliquées, elle est montée dans ma voiture et nous sommes allés chez moi.
Elles étaient toutes les deux nues, assises sur mon canapé, sirotant une «sucrerie». L’une avait des seins plats et tombants et l’autre avait deux petites oranges dures en guise de poitrine. Alphonsine la plus petite, avec les petits seins, semblait heureuse d’être là, Aicha la plus grande était sur ses gardes, se demandant ce que le «toubab» pouvait bien vouloir faire de deux femmes.
Lorsqu’elles furent abreuvées et reposées, elles prirent une douche, je m’installai dans la salle de bain ...
... pour les observer. Elles avaient toutes les deux des culs splendides, callipyges, ronds comme des melons. C’étaient de belles femmes noires, le corps musclé. Alphonsine avait les cheveux courts et très crépus, Aicha des tresses multiples.
J’avais déjà décidé d’»éduquer» Alphonsine et de me servir d’Aicha pour mon petit plaisir personnel. Ce fût assez facile, Alphonsine était parfaite, enjouée, gaie, drôle et adorant les attouchements cochons du «blanc». Aicha était plus réservée, un peu rébarbative, distante, elle n’aimait pas faire la pute et voulait en finir.
Je possédais quelques accessoires simples, martinet (chicotte en Afrique), collier de chien, des liens de cuir et aussi pour le confort de mes fantasmes d’européen, des talons-hauts, des culottes, des bas et porte-jarretelles blancs, toute une lingerie blanche, c’est tellement beau sur une peau noire.
Je remis la lingerie à Aicha en lui demandant de la porter, elle se fit un peu prier mais accepta. Je dis à Alphonsine que je voulais qu’elle se rase la tête, en Afrique il est courant pour une femme de se raser la tête pour diverses raisons, mais souvent en raison de funérailles. Elle rit beaucoup et demanda l’aide d’Aicha. Un quart d’heure plus tard elle sortit de la salle de bain, avec un crane lisse et bien noir, à cet instant je lui dis que je voulais qu’elle se rase la chatte aussi. Elle ne posa aucune question et s’en retourna dans la salle de bain, pour y rester le temps nécessaire au nettoyage parfait de ...