Brèves de blog et autres histoires du temps
Datte: 27/09/2020,
Catégories:
lettre,
conte,
fantastiqu,
Auteur: Le Kawjer, Source: Revebebe
... la maison avec une fille que j’avais déjà invitée. Aussi lorsque J et A m’invitèrent chez eux je ne leur cachai pas mes intentions initiales. Qu’à cela ne tienne et nous partîmes à quatre dans ma Suzuki deux temps, pétaradante dans la nuit.
Whisky et Gin Tonic, quelques vieux standards des Rolling Stones, un pétard de gangas et l’ambiance était lancée. A. avait une poitrine avantageuse et, mon Dieu, elle ne laissait guère de doute quant à ses intentions, assise face à moi, elle ne portait pas de culotte et ne s’en cachait pas. J. lorgnait sur mon accompagnatrice, qui attendait sagement en sirotant un coca. En bon gentleman, je me gardai bien de faire le premier geste. Ce fut J. qui, l’alcool et la fumée aidant, me proposa de découvrir sa nouvelle acquisition. Il rait fort en prononçant ce dernier mot.
Il sortit du placard une sorte de demi-barrique en tôle, sur laquelle trônait un godemiché. C’était une «fucking Machine», une machine à baiser. Il m’en expliqua le fonctionnement, très simple et me montra les différentes taille de gode qui pouvaient s’adapter sur le piston.
Notre jolie cousine Zaïroise fut mise à contribution, mais elle refusa de se prêter à l’essai. « A. » troussa sa jupe sur un cul magnifique et s’empala sur la machine que J. mit aussitôt en marche à vitesse normale. Quel spectacle étonnant, que cette bite de plastique qui entrait et sortait de sa chatte poilue. J’attirai ma Zaïroise vers moi, lui demandant de se dénuder. J’allais la prendre ...
... lorsque J. me fit comprendre que j’aurais meilleur accueil si je m’occupais de A. Un cul blanc ! Je ne me fis pas prier. A. toujours sur sa machine, commençait à s’échauffer. Je pris mon temps pour lui retirer son tee-shirt et son soutien-gorge. Je la caressais, je la masturbais, tout en regardant J. qui limait allégrement notre amie en levrette, pour bien profiter de son cul –disait-il-.
Mais J. voulait a toute force voir la jeune Zaïroise sur sa machine. À force palabres et quelques dédommagements elle accepta de s’installer sur le trône. J et moi-même nous installâmes sur le canapé de bambou, tandis qu’A. toujours nue, surveillait notre invitée, et veillait à ce que tout ce passe bien. J. me proposa de satisfaire A à "quatre mains", je ne pouvais lui refuser cette faveur. Nous primes A en sandwich, lui dans l’anus, moi dans le vagin. Je ne me souviens plus très bien mais je crois que j’ai joui très vite et qu’ils ont terminé sans moi.
Plus tard cette fameuse machine leur valut quelques ennuis. La police Congolaise, informée par ses mouchards avait eu vent des parties fines et avait fait une descente chez J et A et saisit la machine au nom de l’atteinte aux bonnes mœurs. J et A durent leur salut à une fuite précipitée vers Kinshasa.
IV)
AU JECEDA
J’habitais au Jéceda, à Abidjan, le plus bel immeuble du plateau. C’est une construction tout en verre fumé avec des tourelles et des balcons. Une vue splendide sur le parc et la poste du plateau, à deux pas de l’hôtel du ...