1. Brèves de blog et autres histoires du temps


    Datte: 27/09/2020, Catégories: lettre, conte, fantastiqu, Auteur: Le Kawjer, Source: Revebebe

    ... elle a des gros seins, c’est une vraie blonde et elle prend son pied en quelques secondes il faut doser son effort. Depuis que je passe j’ai fait l’amour avec chacune des trois, elles le savent, mais je n’ai pas réussi à en prendre deux en même temps. Il y a aussi Maha, c’est une Voltaïque de la Tapoa (aujourd’hui on dit Burkinabé- Nda-), elle les aide pour les taches domestiques. Elle entre dans la case directement au bord du lit ou nous faisons l’amour, pousse ce petit cri sec et aigu si caractéristique de la surprise chez les Africains. Je la saisis par la main, elle ne résiste pas. Elle tombe sur le lit, je fouille sous son pagne, elle rit, minaude et voyant Jennifer consentante accepte et se déshabille. J’aime bien le contraste entre la peau noire et blanche. Je fais l’amour avec Maha, qui est comme toutes les filles d’Afrique, très nature et se donne sans état d’âme. Son odeur est forte et excitante, je masturbe le clitoris de Jennifer qui jouit aussi vite qu’à son habitude. Je me vide dans le con de Maha, et m’enfonce dans la sieste avec délice.
    
    J’ai repris la route a 16 heures, c’est de la folie il va me falloir rouler de nuit…
    
    II)
    
    1979 LA VILLA D’ESTE –ABIDJAN
    
    La villa d’Este c’était à Marcori résidentiel ou en Zone 4, tout à coup j’ai un doute. Quoiqu’il en soit c’était une belle villa dans les bougainvilliers, un endroit agréable avec piscine, restaurant, bar et des filles toujours nouvelles, blanches et hospitalières. Moi pour être franc j’avais ...
    ... plutôt mes habitudes au Maquis d’Aicha à Treichville, parce qu’elle avait toujours de belles cousines venues du village pour quelques jours. Cependant quand descendaient les broussards il fallait les satisfaire.
    
    On allait les chercher « à l’aviation » à Port Boué, à chaque fois un peu anxieux au regard des atterrissages « d’Air Hasard », mais comme toujours le miracle s’accomplissait et le Fokker se posait sans encombre. Depuis que l’hôtel du Parc avait fermé ses portes on les amenait au Tiama, c’était moins bien mais toujours sur le plateau.
    
    Comme ils venaient de passer presque 6 mois dans les plantations, ils aspiraient à de la civilisation. Et pour ca Abidjan c’était le pied ! Y avait le choix…Entre la choucroute au « Nid de Gigogne », la fondue « Au chalet Suisse », les Nems de notre ami Fong « aux baguettes d’Or » si on voulait rester au plateau, sinon on pouvait « passer le pont » et aller manger turc à l’ « Istanbul », Ethiopien ou un couscous Mauritanien chez un homo qui tenait un magnifique restaurant à Treichville, et je ne parle pas des Libanais du boulevard de Marseille, des Sénégalais sans compter les restaurants des hôtels.
    
    Bien sur avec les Broussards on « passait le pont » et direction Treichville, haut lieu de tous les plaisirs, de toutes les débauches et de tous les dangers. Grand Mezzé à l’Istanbul arrosé de Raki et de gris de Boulaouane très frais, et puis tournée des grands Ducs : « cabane Bambou », « case de l’oncle Tom » et toutes les boites de ...
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