Histoires de cocus (extra)ordinaires (10)
Datte: 24/09/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... après...
— Avant oui.
— Et après ?
— Je sais pas... je crois pas.
— T’as rien dit ?
— Non...
— Elle sait que tu sais ?
— Oui.
— Alors si t’as rien dit... tu l’as encouragée... maintenant... prépare-toi à être cocu.
— Tu crois qu’on est cocu quand on consent ?
— Moi à chaque fois que ma femme se fait planter par un mec, je me sens cocu... mais j’aime ça. Et toi, t’as envie de consentir là ?
— J’sais pas... ça m’excite de voir ma femme faire c’t’effet là... de là, à aller plus loin...
Cependant, la chasse continuait dans l’étang, mais elle était déjà décidée. Hyacinthe n’était pas un imbécile. Il avait organisé un concours qu’il savait gagner. Il nageait vite et bien et avait distancé les trois autres qui continuaient, sans doute pour arriver à quelque chose au cas où Brigitte opposerait une vraie résistance qui leur permettrait de reprendre la main. Bien qu’excellent nageuse, le black gagnait sur elle. Il l’aurait rejointe avant qu’elle touche l’autre rive.
Enfin, il fut sur elle. Elle se débattit, mêlant les cris aux rires. Mais ils avaient repris pied. Dès lors, la force du mâle s’imposa.
La lumière déclinait de plus en plus, à cause de l’ombre produite par les arbres à cet endroit, mais on pouvait voir ce qu’il se passait, y compris deux jeunes hommes arrivant par un invisible chemin, sur un vélo. Il ’s’arrêtèrent, un peu surpris, échangèrent quelques mots avec Hyacinthe qui, ainsi distrait laissa ma femme s’échapper.
— C’est qui ...
... ces deux gars ?
— Attends que je regarde... Ah, je les reconnais... deux employés agricoles qui travaillent dans une ferme des environs. Ils étaient là l’année dernière. On a sympathisé. Ils viennent sans doute retrouver Valéria.
— Ils vont être déçus, dis-je.
— Ou pas... continua Jean-Lou.
Déjà en face, les deux types se déshabillaient pour rentrer dans l’eau. Invités à la chasse, ils se précipitèrent sur Brigitte et la maintinrent pendant que triomphalement, Hyacinthe lui prenait son slip. Le brandissant, fièrement en regardant dans notre direction, il s’époumona.
— Je l’ai !
Il embrassa le trophée, le mit entre ses dents en revint vers nous.
Derrière, Brigitte se précipitait en criant :
— Rends-la-moi, rends-la-moi.
Les deux jeunes gars se mirent à nager derrière.
Après avoir traversé l’étang et être revenu vers nous, Hyacinthe s’arrêta avec de l’eau jusqu’à la poitrine et attendit ma femme.
— Rends-moi ma culotte, salaud.
Lui la tendait à bout de bras. Elle sautait pour pour voir l’attraper, mais sans y réussir.
— Monte sur le marchepied, tu seras à la hauteur. Il doit être déplié maintenant, lança Jean-René.
Tout le monde comprit de quoi il s’agissait et on s’esclaffa de bon cœur devant la puissance de l’image.
Hyacinthe reprit un peu de distance pour ne plus avoir pied. Ainsi, toujours pour essayer d’attraper sa dentelle, ma femme fut obligée de s’accrocher à lui, de se suspendre d’un bras autour de son cou et, probablement, ...