1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (10)


    Datte: 24/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... on se faisait trébucher à grand renfort de cris et d’invectives provocantes.
    
    Puis, Alain sortit de l’eau et vint se planter devant ma femme. Les derniers rayons du soleil faisaient scintiller des myriades de gouttelettes sa peau bronzée. Il était superbe. Il le sait. Il s’exhibait. Il triomphait et me jetait, mais sans en avoir l’air, tant son sourire lui donnait de l’innocence, comme un défi.
    
    — Tu viens avec nous ?
    
    Brigitte me regarda.
    
    — Euh... j’sais pas.
    
    — Allez, viens, c’est drôle. On se marre.
    
    Et il la prit par le bras pour la forcer à se lever, mais bien sûr, elle résista, ce qui fut un prétexte pour qu’il se colle contre elle, son sexe touchant le bras et les seins. Elle crevait d’envie de se jeter à l’eau au milieu de ces adonis, mais attendait ma réaction.
    
    J’étais curieux de tester la résistance de ma femme... ou la mienne. J’étais bien conscient que tout cela pouvait "mal finir". Enlevant mon short, je dis du ton le plus enjoué possible:
    
    — Moi, j’y vais.
    
    Puis j’ôtai mon slip et courus, laissant le trio en arrière.
    
    Arrivé dans l’eau, je me retournai.
    
    Alain, tirant ma femme par la main, se précipitait vers nous. Elle avait juste gardé sa culotte. Jean-Lou se désapait comme Zorro, sans se presser.
    
    Bientôt ,tout le monde batifola dans l’onde fraîche. Les gars adeptes du rugby s’essayaient à des placages projetant des gerbes d’éclaboussures.
    
    Tous, à un moment ou à un autre et le plus longtemps possible, gravitèrent autour de ma ...
    ... femme, la prenant par derrière, se collant à elle, agrippant un sein, la soulevant, la portant à bout de bras et la projetant à l’eau. L’eau qui nous montait jusqu’aux hanches à peu près aurait pu dissimuler les érections naissantes. Mais les bonds que faisaient les gars pour en sortir et y replonger étalaient un bref instant à tous les regards ces virilités mises en éveil.
    
    Il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir que les mains s’attardaient parfois un peu trop longuement que le jeu le voulût sur les fesses ou les seins. De même, les bouches effleuraient insensiblement la peau. Brigitte n’était d’ailleurs pas en reste pour jouer aussi et "malencontreusement", elle frôlait des coucougnettes qui ne demandaient qu’à l’être.
    
    Il aurait fallu être aveugle encore pour ne pas voir que je bandais, même si j’avais fait des efforts pour avoir de l’eau jusqu’au nombril.
    
    Les gars me regardaient à la dérobée et comme je restais impassible, en dehors de mon érection, comme Brigitte les laissait faire, ils devenaient de plus en plus entreprenants. Les étreintes étaient plus longues, on la portait en prenant bien soin de passer un bras entre les deux jambes, on écrasait les deux gros seins... On la ceinturait longuement.
    
    De tous, Jean-Lou était le moins entreprenant. Il s’était amusé lui aussi et se tenait maintenant à côté de moi.
    
    Et puis tout à coup, alors que nous étions tous à peu près regroupés et que ma femme s’était éloignée de quelques brasses, Hyacinthe proposa.
    
    — ...
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