Histoires de cocus (extra)ordinaires (10)
Datte: 24/09/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... pissait tout à l’heure, et au repos, c’est du beau morceau. Mais j’avoue, même à l’armée, j’ai jamais vu une trique comme la tienne Hyacinthe. Ça te gêne pas pour marcher ?
— Ça veut rien dire la bite au repos petit... y a des p’tites qui quadruplent de taille et des grosses qui prennent même pas un centimètre...
Et ils continuèrent comme cela pendant un moment, ce qui nous amusa beaucoup... tellement que j’eus une irrépressible envie de baiser. Je collais ma femme contre le mur et je la pris debout, sauvagement et rapidement, plantant mon pénis dans sa chatte et donnant de violents coups de reins jusqu’à ce que j’éjacule., si vite que je ne lui donnais même pas le temps d’avoir un orgasme.
Puis ils sortirent, continuant les gauloiseries et les récits de leurs exploits.
Quand nous fûmes prêts à notre tour, l’apéro nous attendait et le barbecue crépitait. Le tout était installé au bord du petit lac, assez loin, derrière une haie d’arbres qui nous cachait de la route et du terrain de sports. Des serviettes avaient été posées sur l’herbe près de l’eau, affichant les intentions d’éventuels baigneurs. Il semblait donc que nous fussions seuls au monde avec ces cinq hommes.
Le soleil brillait encore, mais déclinait sur l’horizon... Il faisait toujours une chaleur accablante qui donnait prétexte aux hommes pour être torses-nus et exhiber leurs avantages devant l’unique femme de la soirée.
L’alcool coulait raisonnablement, mais la chaleur montait.
— Je piquerais ...
... bien une tête moi ! dit Hyacinthe. Qui vient avec moi ?
— J’irais bien, mais j’ai pas de maillot, répliqua le plus jeune.
— T’as qu’à mettre le même que le mien, répondit le black en baissant son froc et en se retrouvant complètement à poil.
Et l’autre le fit. Ainsi, dans le plus simple appareil, ils coururent se jeter à l’eau.
Je m’y connais en hommes, l’habitude des vestiaires bien sûr, et mon diplôme de Kiné que je venais juste d’obtenir. Deux beaux mâles. Le black, très grand, sans être exagérément musclé était en revanche magnifiquement sculpté. Les proportions étaient remarquables et il ne s’était pas vanté en vain. Une trompe d’éléphant pendait entre ses jambes. Sa peau chocolat était encore assombrie par une pilosité touffue sur le pubis et sous les bras.
Quant à Alain, lui était tout muscle. Son cul blanc tranchait avec sa peau cuivrée par le soleil. Un splendide service trois-pièces ballottait joyeusement au rythme de sa course dans un écrin de poils qui ne désépaississait guère en remontant vers le torse puissant où pointaient deux gros tétons roses dont la juvénile fraîcheur pouvait être attractive.
Ma femme aime les beaux garçons.
— Belles bêtes ! lui dis-je.
— En effet, répondit-elle d’un air gourmand.
Un autre type se désapa puis un quatrième. Ils étaient du même gabarit que les autres, virils, solides, bien membrés. Il ne restait que Jean-Lou et nous. Les gars jouaient comme des jeunes chiens. On s’éclaboussait, on se courrait après, ...