Touchée, pas coulée
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
fh,
couple,
cérébral,
revede,
pénétratio,
Auteur: Léa11, Source: Revebebe
... ?
— Si, si.
— Si mais quoi ? insista-t-il.
— T’es un peu lourd avec la Bellecombaise !
— Rrrhoooo, t’exagères ! C’est quand même pas si terrible ! dit-il en remontant sa main en direction de ma poitrine. En plus je crois que tu lui fais de l’effet, vu les regards qu’il posait sur toi et sur tes genoux à l’apéro.
— Pff, t’es bête. Allez sois sage, demain c’est jeudi, pas dimanche.
Vincent me glissa un bisou dans le cou, mais sa main gauche malaxait toujours mes seins en s’attardant sur les mamelons qui se redressaient un tantinet et contre mon gré sous ses doigts. Je commençais à percevoir un début d’érection contre ma cuisse gauche mais ne fis aucun geste pour encourager la bête.
Il fit glisser sa langue sous le lobe de mon oreille car il savait bien à quel point cela me faisait fondre rapidement, et je ne pus réprimer un léger soupir de contentement. Vincent aimait le sexe, ce qui tombait bien d’ailleurs, car c’était le cas pour moi également.
— Je suis sûr qu’il est en train de se caresser dans son lit en pensant à toi, à cette heure-ci. Ou dans pas longtemps, rajouta-t-il en approchant sa main de mon sexe.
Je ne répondis pas, mais je pus sentir que son sexe avait gonflé ses voiles pour traverser les mers du désir. À cet instant, mon esprit hésitait entre le désir qu’il fasse un petit tour du monde en solitaire et celui d’une régate endiablée sur une mer houleuse. Je ne répondis rien, mais je sentis que ses paroles m’avaient touchée.
— Il imagine sans ...
... doute la douceur de tes lèvres sur sa tige bien dure et bien dressée, ta langue s’enroulant autour de son gland et de sa couronne bien dessinée…
Sa main glissait à présent entre mes cuisses encore serrées, mais les images suggérées par mon homme commençaient à produire leur effet sur mon bas-ventre.
— À présent, il t’a complètement déshabillée et contemple ton corps bientôt offert à ses caresses. Debout derrière toi, ses longues mains enserrent tes globes, descendent et remontent de ton cou à ton ventre. Tu respires fort et sens sa queue tendue derrière tes fesses et tu attends avidement qu’il te plaque contre lui.
Mes cuisses avaient fini par s’entrouvrir à mon insu, sa main chaude était tout près de mon sexe. Je me cabrai en gémissant lorsqu’il glissa son majeur dans ma fente.
— Tu es trempée de désir, fit-il d’un souffle d’excitation. Tu rêves de prendre sa grosse queue en toi et qu’il te chevauche et te baise avec fougue.
Je haletais et gémissais, le cœur battant la chamade, et je mobilisai mes dernières volontés pour ne pas crier« oui, j’en ai envie », car je n’avais pas envie de l’avouer aussi crûment à Vincent.
Il me poussa alors sur le côté droit tout en continuant de me caresser, mes lèvres gonflées elles aussi et toutes mouillées du désir de Gilles.
Lorsque je sentis son sexe me pénétrer d’un seul coup jusqu’à la garde, je ne pus m’empêcher de retenir mon plaisir silencieusement plus longtemps.
— Oui, viens, prends-moi fort, baise-moi bien, je ...