1. Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune


    Datte: 22/09/2020, Catégories: h, fh, ff, fhh, ffh, grp, cérébral, Masturbation entreseins, facial, Oral Partouze / Groupe fsodo, conte, Humour Auteur: Cyrielle, Source: Revebebe

    ... au royaume. Qu’il en soit donc ainsi, pour les siècles des siècles ! Vous êtes mariés, vous pouvez continuer à l’enculer.
    
    Mais Blanche ne voyait pas les choses ainsi. L’heure était venue de s’offrir pleinement à l’homme qui était maintenant son époux. Sans cesser de le chevaucher, elle se releva un peu et avança le membre chéri en direction de sa fente. Ils ne se quittaient pas des yeux, déversant leur amour dans le fleuve de leurs regards, comme d’autres autour d’eux déversaient leur foutre. Elle le fit entrer en elle et se blottit contre son torse. Elle découvrait quelle félicité ce pouvait être que de recevoir l’homme aimé dans son ventre. Des frissons de ravissement parcouraient ses nerfs, des vagues voluptueuses prenaient d’assaut sa chair. Semblable à une nef ballottée sur un océan de félicité, elle gémissait d’un plaisir nouveau et entier. Et soudain, sans qu’elle ne s’y attendît, elle fut agitée de contractions bienheureuses. Elle connaissait enfin la plénitude.
    
    Tout à son amour absolu, Tour-Vive embrassait chaque parcelle de peau accessible, nichant son nez au creux du cou adoré, jouant de ses doigts sur la poitrine sensible. Il riait.
    
    — Ainsi tu te nommes Blanche ! Comment se fait-il que je ne t’aie jamais remarquée ?
    — Je ne sais, monsieur mon époux !
    — Désires-tu que nous poursuivions cette découverte dans nos appartements ? Toute cette bestialité alentour me semble soudain déplacée.
    — Rien ne saurait plus me complaire, amour de ma v… AIE ...
    ... !
    
    Par-dessus l’épaule de sa dulcinée soudain crispée, le chevalier vit apparaître le visage égrillard du roi. Celui-ci lui fit un clin d’œil et entama son mouvement.
    
    — Je me disais que puisque vous aviez changé d’orifice, je pouvais investir ces fesses encore ouvertes…
    — Il s’agit maintenant de mon épouse, Sire !
    — Quel dommage : je m’y sens fort bien.
    — Je l’aime, sire !
    — Certes, c’est un point important. Vous avez raison chevalier. Il n’est pas convenable de foutre le cul d’une dame sans l’accord du mari. Encore moins le soir de ses noces, je suppose. Je me retire.
    
    Le roi Loric savait faire preuve de tact et de savoir vivre, et c’est à regret mais délicatement qu’il entreprit d’extraire de Blanche la partie de lui-même qu’il y avait introduite.
    
    — Veuillez me pardonner cette intrusion déplacée, dame Blanche.
    — Il n’y a pas de mal, Sire.
    
    Enfin, si, quand même un peu, car le membre légendaire n’était jamais hébergé sans contusions. Mais Blanche jugea opportun de ne pas évoquer ce désagrément.
    
    Sans quitter l’abri de son con étroit, le chevalier souleva Blanche dans ses bras et la tenant face à lui quitta la salle, sous les acclamations et quelques râles. Le roi semblait navré de les voir partir. À la porte de l’office, Bethold affichait une mine renfrognée mais madame Desnard applaudissait à tout rompre.
    
    — Je le savais ! Je le savais ! Bravo Blanche !
    
    ***
    
    Épilogue :
    
    Les deux cœurs ardents vécurent leur passion dans la plus grande félicité, jusqu’au jour ...