1. Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune


    Datte: 22/09/2020, Catégories: h, fh, ff, fhh, ffh, grp, cérébral, Masturbation entreseins, facial, Oral Partouze / Groupe fsodo, conte, Humour Auteur: Cyrielle, Source: Revebebe

    ... trop irrégulièrement pour lui procurer une émotion notable. Ça devait faire un moment que le vieil homme n’avait pas monté un destrier. Avait-il d’ailleurs un jour monté autre chose que des servantes ? Des fleurs de cerisier peut-être ? Non, un homme ne monte pas des fleurs, il pisse dessus. Même si pour le cerisier c’est un peu haut.
    
    Le baron commençait à s’ennuyer, lui aussi. Il sortait parfois son membre un peu tordu pour regarder le trou entrouvert et y trouver un renouveau de motivation. Puis il replongeait, animé d’une vigueur volontaire, soucieux d’accomplir son devoir et de conforter sa virilité.
    
    — Blanche, pourrais-tu pousser quelques cris lorsque j’investis tes entrailles ?
    — Quel genre de cris, monsieur le baron ? Genre ça me fait plaisir, ou genre ça me fait mal ?
    — Ma foi, un peu des deux serait parfait. Tu y gagneras une pièce d’or.
    
    Une pièce d’or ! Entière ! Le baron était d’humeur prodigue ! On ne pouvait pas décevoir un homme prêt à se départir d’une pièce d’or, toutes les servantes savent ça. Cette pièce était celle qui manquait au pécule que Blanche accumulait depuis que son regard était tombé sur le chevalier de Tour-Vive. Celle qui lui permettrait d’atteindre les dix-sept écus, le prix de l’amour.
    
    Elle s’appliqua donc à libérer une gamme de sons aigus, de grondements, de feulements, de hoquets rauques, de glapissements, glissa quelques « non » et quelques « oui », de vagues « noui », on ne sait jamais, et put enfin supposer, à la crispation ...
    ... du vieux baron sur ses hanches, que les précieuses gouttes s’évacuaient dans ses boyaux. À la bonne heure ! Bon, cirer les sols du boudoir maintenant. Et dès qu’elle serait libre, aller voir la vieille Cyrcée.
    
    L’aristocrate resta en elle le temps que se calment les derniers tressautements de son antique tige. Puis il se retira, lui intimant de conserver sa position. De maigres mains écartèrent de nouveau les fesses gracieuses et un objet froid fut appliqué dans la rondelle ouverte. Le muscle se contracta instinctivement. Le baron remontait ses chausses et Blanche restait immobile, une pièce d’or fermant son petit trou, cercle brillant entre les globes clairs.
    
    Elle possédait maintenant assez pour capturer le beau chevalier. Un trésor obtenu mois après mois, année après année, non sans se donner un peu de peine et beaucoup prendre au cul.
    
    ***
    
    Blanche était familière de l’exercice depuis ses débuts au château. Alors fraîche apprentie aux formes en plein développement, son visage doux avait attiré l’attention des hommes. Elle avait plusieurs fois repoussé les assauts de valets ou de palefreniers, mais que dire devant un duc ou un comte ? Devant le roi Loric lui-même ? Une servante ne peut qu’acquiescer aux désirs des nobles, car, lui expliqua-t-on, il serait dangereux de remettre en cause l’ordre du monde. L’harmonie céleste dispose chaque chose et chaque être à sa juste place. Une perturbation pourrait fragiliser le délicat équilibre qui permet au soleil de se lever ...
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