1. Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune


    Datte: 22/09/2020, Catégories: h, fh, ff, fhh, ffh, grp, cérébral, Masturbation entreseins, facial, Oral Partouze / Groupe fsodo, conte, Humour Auteur: Cyrielle, Source: Revebebe

    ... avec son champion. Déjà sous l’emprise fortifiante de l’alcool, ils levèrent haut les bras pour porter un toast. Geste maladroit qui fit choir les coupes, éclaboussant Tour-Vive et mettant en échec la ruse de Blanche. Déterminée, la servante dont l’esprit n’avait jamais été aussi agile discerna une nouvelle occasion. Elle imbiba de philtre le linge avec lequel elle entreprit de nettoyer le visage maculé de vin du chevalier. Il fallait qu’elle parvienne jusqu’aux commissures de la bouche… Mais le chevalier la repoussa vivement.
    
    — Que fais-tu ribaude ? Ai-je l’air d’un enfançon incapable de se débarbouiller lui-même ? Je suis un tueur de dragons ! Trois ce jour ! Je ne saurais souffrir une sollicitude si déplacée ! File sur le champ !
    
    Renvoyée et penaude, mortifiée de son insuccès, Blanche se retira. Elle avait par deux fois failli dans sa quête, et il ne restait plus guère de liquide dans la précieuse fiole. Tout juste de quoi effectuer une dernière tentative.
    
    Blanche guettait, à l’affût d’une opportunité. Les convives faisaient bombance, les heures passaient et la jolie servante ne voyait aucune occasion se présenter. Les pâtisseries furent servies. Gâteaux aux cerises, tourtes aux pommes, biscuits aux amandes, beignets aux abricots, choux aux mangues, olives confites : vingt desserts répondirent aux vingt plats.
    
    La soirée tirait à sa fin. Connaissant la vie aussi bien que madame Desnard, les plus prudes des gentes dames se retiraient. Plusieurs seigneurs étaient ...
    ... affalés sur et sous les tables, gisant dans les reliefs de nourriture et les flaques de vin. D’autres, encore vifs, riaient fort, attrapaient des servantes, vidaient des coupes et flattaient des croupes.
    
    Bientôt des jupes furent relevées, des rubans délacés, des mains glissées entre des cuisses, des nez fourrés entre des seins. Sans doute pour Blanche la dernière occasion d’agir. Elle se dégagea en souriant de l’emprise d’un duc aux gestes mal assurés et s’isola un instant. Sa décision était prise. Elle laissa sa robe glisser au sol et se prépara pour sa dernière tentative. L’œuvre d’une vie dépendait désormais des mouvements qui allaient suivre et de sa faculté à accaparer l’attention du héros.
    
    Plusieurs convives fourrageaient déjà entre les jambes des femmes, par un orifice ou l’autre, suivant qu’elles aient été attentives ou non aux conseils de madame Desnard, qui savait. Un comte, gras comme un porcelet, chevauchait une chambrière égarée. La Duchesse de Montpresiat se faisait dévorer, assise sur une table, sous le regard concupiscent du marquis d’Estaples. Un baron priapique courait nu autour de la salle, tentant de capturer deux demoiselles agiles. L’imposant pieu royal était léché et branlé par deux filles agenouillées sous la table, chacune s’appliquant à des caresses qu’elles espéraient productives : aucune n’avait envie de devoir accueillir en elle un tel monstre. La plus jeune, dotée d’une poitrine fort respectable, l’avait enserré entre ses collines souples ...
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