Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
h,
fh,
ff,
fhh,
ffh,
grp,
cérébral,
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
conte,
Humour
Auteur: Cyrielle, Source: Revebebe
... accoudoirs.
— Mets-toi à quatre pattes, jeune fille, et viens reposer ton menton sur ce coussin. Voilà. De la langue tu peux flatter mon petit bouton, et je te prie d’y employer la plus grande vivacité.
Blanche avait devant elle un mont de venus parfait surmontant une pêche fendue aux fragrances fruitées. Les doigts de la duchesse glissaient sur son con qui s’humidifiait rapidement, jusqu’à ce que d’impatience elle plaquât la tête de Blanche à son entrejambe. La jeune fille ne pouvait guère respirer mais elle se sentait assez émue par la situation. L’odeur douce l’enivrait un peu. Elle s’appliqua de la langue. Elle n’avait jamais pratiqué l’exercice mais il lui semblait aisé : elle ne faisait que prodiguer les caresses qu’elle aurait souhaité recevoir.
L’attitude du marquis d’Estaples était plus préoccupante. Après avoir un instant contemplé le charmant tableau : une gracieuse servante à quatre pattes le nez perdu dans la motte de la duchesse, il venait de relever les jupes de Blanche et guidait son vit vers l’entrée qui devait être évitée. Blanche ne pouvait se permettre de se faire enconner de nouveau. Madame Desnard, qui savait, avait été très claire sur le sujet. La tête toujours appuyée sur le fauteuil et sans cesser son ouvrage, elle envoya sa main et se tortilla pour saisir elle-même le vit du marquis. Ses doigts couverts des sécrétions de la duchesse enrobèrent le membre, puis elle le guida vers l’entrée la plus haute.
— Oh tiens ! Mais c’est dans le cul ...
... que tu souhaites le prendre ? Que voilà une belle effronterie de la part d’une fille si jeune !
— Je vous en prie messire, jouissez-en autant qu’il vous plaira !
Tout en parlant elle avait basculé le bassin, forçant sur la petite étoile le gland qui s’y lovait déjà, ne laissant plus le choix au marquis excité.
— Fort bien ! Il en sera donc ainsi !
Et agrippant les hanches de la jeune fille, il l’encula d’une rude poussée. Il n’était ni tendre ni attentionné, juste avide d’une satisfaction rapide. Blanche ne put que bénir le second conseil de madame Desnard : toujours s’oindre les intérieurs avant de quitter le quartier des domestiques.
Malgré cette précaution, elle sentait bien que le vit du marquis était autrement plus imposant que celui de Bethold. Sans la pratique régulière à laquelle le garçon l’avait accoutumée, elle aurait certainement tressailli de douleur. Là elle subissait certes l’inconfort d’un assaut brutal, mais la chose était supportable.
De son côté, la duchesse de Montpresiat maintenait le visage de Blanche collé à son con. La jeune fille léchait comme elle pouvait, écrasait sa bouche contre la fente trempée. Elle avait instinctivement accordé le rythme de sa langue au tempo du marquis dans ses fesses. La chose semblait convenir à la duchesse qui ne cessait de proférer des obscénités ravies. Le marquis appréciait le tableau.
— Chère duchesse, jamais je n’aurais rêvé de vous baiser ainsi !
— De me baiser mon ami ? N’y songez même pas ! Voilà ...