Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
h,
fh,
ff,
fhh,
ffh,
grp,
cérébral,
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
conte,
Humour
Auteur: Cyrielle, Source: Revebebe
... arcs-en-ciel sucrés. Un amour à qui elle accorderait enfin l’usage de son con mignon, laissant au repos un cul qui avait beaucoup œuvré et méritait répit.
***
Madame Desnard avait eu raison de préparer Blanche, et les offices de Bethold se trouvèrent rapidement justifiés. Il ne s’écoula guère de temps entre les premières initiations et le matin où le marquis d’Estaples coinça de nouveau la jeune servante pour l’entraîner dans une bibliothèque déserte.
Enserrant sa taille d’une main, il tâtait de l’autre la poitrine délicate. Blanche sentait le souffle aviné dans son cou. Toute à la maîtrise de son sang-froid, elle restait immobile alors que le marquis avide descendait entre ses cuisses, agrippait ses poils et pétrissait sa fente. Un doigt tenta d’en forcer l’entrée. Blanche se tortilla. Elle n’avait jamais entendu dire qu’un doigt pût engrosser, mais on ne sait jamais. Il est parfois des doigts étranges.
— Inutile de faire des manières, petite ! Je suis bien placé pour savoir que tu n’es plus vierge ! Tu connais les règles qui régissent le fragile équilibre du monde, n’est-ce pas ? Tu sais qu’il dépend de toi que le soleil se lève ou non ? Écarte tes jambes que j’y trouve ma juste place !
— Attendez, messire.
— Pourquoi attendre ? Chaque instant nous rapproche de la mort. Un instant perdu est un instant qui ne reviendra jamais !
— Si fait, mais laissez-moi vous prodiguer une caresse de ma bouche.
— Fort bien, je t’autorise à lécher mon vit.
Le marquis ...
... baissa ses chausses à mi-cuisses, laissant échapper la verge tendue que Blanche se hâta de rattraper avant qu’elle ne vînt se perdre là où il ne fallait pas. Penchée en avant, elle ouvrit les lèvres et accueillit un membre dont l’odeur trahissait qu’il avait, peu avant, connu la félicité dans un orifice dont elle préférait tout ignorer. Elle réprima un haut-le-cœur et s’appliqua à resserrer sa prise pour faire coulisser le marquis le plus pleinement possible, comme le lui avait appris madame Desnard, qui savait. L’homme grognait doucement, fasciné par la fraîcheur du joli visage qui s’activait sur sa virilité.
— Mais c’est très bien ! Tu te débrouilles de façon parfaitement honorable ! Oh, mes hommages, duchesse…
Sans s’interrompre, il saluait la Duchesse de Montpresiat. La noble dame d’une beauté mûre qui venait s’entrer dans la bibliothèque ne semblait nullement fâchée du spectacle qui s’offrait à elle.
— Eh bien marquis ! On se fait sucer dès le matin ? Vous voilà bien allant !
— C’est que je ne me suis pas encore couché, ma Dame. Je pensais foutre cette petite afin de m’endormir les sens avant un repos mérité.
— L’idée est ingénieuse. Bouffe-t-elle les cons avec la même ardeur que les verges ?
— Je ne sais. Vous plairait-il de goûter à ses services pendant que je la prends ?
— Volontiers, mon bon.
La duchesse s’installa sur une bergère. Elle releva haut robes et jupons, révélant un pubis glabre, et avec une indolente indécence posa ses jambes de chaque côté des ...