1. L'ultime communion


    Datte: 21/09/2020, Catégories: fhh, ffh, nympho, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe nonéro, Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... doucement sa langue sur ses lèvres.
    
    — C’est beau… s’exalta Raoul.
    
    J’avais malgré moi une gaule du diable. Pourtant tourmenté par ce que je venais de voir à la téloche, mon esprit ne parvenait pas à se détacher des yeux magnifiques et des seins envoûtants qui me provoquaient l’un et l’autre. En soupirant et en me reprochant ma faiblesse, je déboutonnai le pantalon que j’avais emprunté à Raoul et présentai mon sexe presque tendu à quelques centimètres de la bouche exaltée de Juliette.
    
    Elle regarda un court instant ma bite avec une sorte de stupeur, puis ouvrit bien grand la bouche et s’avança quelque peu, refermant ses lèvres chaudes sur mon gland. Mon clone, qui la défonçait maintenant à toute allure, m’adressa un sourire de parrain, et Raoul lui-même sembla se féliciter que j’aille mieux.
    
    Mais je les emmerdais ! Je fermai les yeux et penchai la tête en arrière, savourant les caresses que me destinait Juliette.
    
    Plusieurs minutes peut-être passèrent ainsi, mais je sursautai soudain et rouvris les yeux en entendant plusieurs longs hurlements monter de la rue. Juliette recracha mon sexe et, ne le tenant plus que d’une main, releva la tête, et même Gufti-Éloïse s’interrompit. Ils semblaient tous deux absorbés, ou inquiets. Raoul nous regarda tour à tour et demanda :
    
    — Quelque chose ne va pas ?
    
    Tout se passa en à peine quelques secondes. J’eus l’impression que la foudre s’abattait sur nous. Juliette et Éloïse se désintégrèrent soudain et de ce qui restait de ...
    ... leurs corps parurent sortir deux éclairs violets qui fusèrent vers le ciel en faisant exploser la fenêtre au passage. Une vive impression de douleur secoua tout mon corps, partant de mon sexe et irradiant dans tout mon être, m’arrachant sans doute un long cri. C’était comme un très long coup de jus.
    
    — Gufti ! hurla Raoul. Qu’est-ce qui se passe ?
    
    J’eus l’impression de convulser interminablement sur mon fauteuil, les yeux rivés sur les éclairs vibrants qui reliaient deux ombres devant moi à une intense lumière inondant le ciel. J’aperçus Raoul se lever en criant et regarder comme il pouvait par la fenêtre. Et cela s’arrêta aussi soudainement que ça avait commencé. Devant moi virevoltèrent à nouveau les myriades de particules qui composaient Juliette et Éloïse et celles-ci réapparurent bientôt, la seconde toujours déguisée en moi-même.
    
    Je demeurai scotché les bras en croix, vautré en arrière, mon sexe s’amollissant misérablement et probablement les yeux largement hagards, cherchant à comprendre ce qui m’était arrivé.
    
    — Putain, merde ! Vous faites chier ! Vous avez flingué ma télé ! gueula Raoul en essayant de la rallumer.
    — Qu’est-ce que… qu’est-ce qui y a eu ? demandai-je, ahuri.
    — J’sais pas, beugla-t-il en réponse, mais y a plus rien qui marche ici !
    
    Je le vis aller appuyer tour à tour et plusieurs fois en vain sur chacun des interrupteurs de tous ses appareils électriques.
    
    — Juliette ! Qu’est-ce que c’était ? insistai-je.
    
    Elle me regarda longuement avec ...
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