1. L'ultime communion


    Datte: 21/09/2020, Catégories: fhh, ffh, nympho, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe nonéro, Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... débarquer chez moi et m’emmènent au commissariat central pour "m’interroger".
    
    Résumé de l’épisode 8 : J’ai raconté tout ce que je savais (ou presque) au commissaire ; celui-ci me fait confiner dans une minuscule cellule, attendant d’être interrogé par la DST. Au beau milieu de la nuit, les policiers m’apprennent que la situation a encore dégénéré. Les clones partouzeurs ont envahi tout le pays. Au matin, je découvre avec surprise Juliette dans ma cellule ; celle-ci prend mon apparence et se fait passer pour moi aux yeux des flics, me permettant ainsi de m’évader. Je retrouve Raoul qui nous emmène à son domicile, Juliette, Éloïse et moi.
    
    Quinze heures. Raoul et moi avions mangé un morceau et larvions à présent devant la télé, accablés par les nouvelles provenant du monde entier : des millions (si ce n’était des milliards) de "congénères" d’Éloïse et Juliette avaient débarqué sur la planète pour expérimenter la baise. Et des images provenant des quatre coins du globe étaient parachutées sur toutes les chaînes à grands coups de commentaires apocalyptiques. On y voyait copuler à tout-va d’innombrables groupes formés de clones de Juliette, d’Éloïse et de moi-même. Sur la Grande Muraille, au pied des Pyramides, devant le siège de l’ONU ou encore sur les plages d’Acapulco, on y avait tous droit. Le monde entier allait bientôt connaître ma tronche. Et ma bite. Qu’on voyait presque en gros plan sur toutes les téloches de la terre !
    
    Le nom de Gufti Shank faisait désormais ...
    ... partie du panthéon des stars mondiales et était seriné à chaque fin de phrase par les journalistes qui ne manquaient pas de déjà signaler que je m’étais évadé et que j’étais probablement extrêmement dangereux. J’avais éclipsé d’un seul coup toutes les plus grandes idoles de la jet-set. J’étais en train de devenir l’objet de la haine de cinq milliards de gens d’un seul coup.
    
    Et ça dégénérait complètement. Le chaos s’installait. On voyait des rues entières quasiment abandonnées à la guerre qui opposait les clones partouzeurs à des armées de bons citoyens en colère. D’autres images montraient des sectes qui s’étaient déjà formées, dont tous les membres, suivant l’initiative du grand gourou Gufti Shank, baisaient à tour de bras dans des jardins publics ou des stades.
    
    J’étais en colère, révolté de la situation et de mon impuissance à la fois. Au bout d’une petite demi-heure à écouter ce genre de conneries, je me levai, enragé, pour éteindre en hurlant la télévision :
    
    — Putain, c’est vraiment la merde, là !
    — Ouais… j’sais pas trop ce que ça va donner… me répondit nonchalamment Raoul.
    
    Montant de la chambre voisine, un long hurlement de jouissance nous interrompit avant de s’éteindre soudainement.
    
    — Et les deux autres qui baisent encore !
    — C’est vrai que les cloisons de cet appart sont quand même un peu minces… fit mon ami, comme en guise d’excuse.
    
    Il tendit l’oreille pour écouter attentivement les gémissements qui reprirent, ténus. Puis il se leva et m’annonça, ...
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